• Sœurs sorcières

    Livre 2

    Jessica Spotswood

    Soeurq sorcières, tome 2 de Jessica Spotswood

     

    Titre en VO : The Cahill Witch Chronicles , book 2 : Star Cursed

    Année de la première publication (France) : 2014

    Nombre de pages : 436

    Editeur : Nathan

    Site de l’éditeur : http://www.lireenlive.com/ 

    ISBN : 978-2-09-254044-2 (grand format)

    Site de l’auteur : http://www.jessicaspotswood.com/ 

    Ma note : 10/10

    Publique conseillé : Filles  à partir de 13-14 ans

    Quatrième de couverture :

    Pour protéger ses sœurs, Cate dû quitter son fiancé et rejoindre l’ordre des Sœurs. Le cœur déchiré, elle commence une nouvelle vie, entourée de sorcières qui voient en elle l’Elue de la prophétie, la sorcière la plus puissante de tous les temps. Certaines lui demandent même de prendre la tête d’une guerre ouverte contre les Frères. Cate résiste, refusant de recourir à la violence.  Mais sa sœur Maura arrive bientôt au couvent et semble, elle, prête à tout pour renverser l’ordre des Frères…

    Mon avis :

    Comme pour le premier volume, c’est un coup de cœur. Nous retrouvons Cate suivie depuis le tome 1 à New London – ville principal du pays -. La jeune femme de 17 ans, sorcière, à rejoint le couvent des Sœurs qui regroupe les sorcières voulant maîtriser leurs dons magiques. Mais ce n’est pas la seule raison qui a poussé la jeune fille à y aller, elle doit protéger ses sœurs – sorcières également – d’une prophétie qui concerne le trio. La mort dans l’âme elle a dû laisser son fiancer. Une guerre se prépare. Que va-il arriver ?

    Je vais d’abord parlé des points « négatifs » comme çà on garde le meilleur pour la fin.

     Je pensais que l’on allait suivre une des trois sœurs dans chaque tome mais vraisemblablement Cate va être la narratrice de l’histoire durant toute la trilogie. C’est dommage car j’aurais bien aimée connaître le point de vue de Maura et Tess – les deux autres sœurs -.

     Les 200 premières pages sont assez longues. Jessica Spotswood prend le temps de replacer les bases – peut-être un peu trop ? – passer ces 200 pages, l’action va crescendo et ne s’arrête pas.

    Les points positifs maintenant.

    Les personnages sont sympas. Cate est une jeune fille qui ferait tout pour sa famille. Elle fait même pression sur celle-ci. Maura, la cadette, est impulsive et n’hésite pas à se servir de ses dons pour obtenir ce qu’elle désire. Tess, la benjamine, est gentille, douce et peut paraître fragile  même si elle ne l’est pas. Elle s’affirme et prend de l’importance. Finn, le fiancé de Cate est un amoureux des livres et se bât pour ce qu’il croit juste. Rilla, la compagne de chambre de l’héroïne, est un peu folle, dans le bon sens du terme. Sœur Cora, la prieure du couvent – la « directrice » - est une vieille femme qui se bât pour la paix. Elle m’a fait un peu pense à Dumbledore dans Harry Potter.

    Le style de l’auteur est fluide et agréable. Le triangle amoureux qui me dérangeait dans le premier tome à disparu ici ce qui est très appréciable et important à souligner.

    On en apprend plus sur la mère des filles et cela permet de répondre à certaines questions mais de nouvelles arrivent. La fin, est très palpitante.

    La couverture est toujours aussi belle ! Je remercie les éditions Nathan pour ce sublime travail graphique.

    En résumé, une très bonne suite qui donne très envie de connaître le fin mot du récit.

    Extrait : (choix : très belle description de lieu)

     « Je murmure un peu sottement: "Que c'est beau !" Mais le mot est faible. Il y a quelque chose de l'ordre du divin dans cette salle, quelque chose qui me commande d'aller à pas feutrés, respectueux. Dans ce palais des livres, je me sens minuscule et humble, comme face aux éclairs d'un orage violent.
    Tess tomberait en adoration ici. Les bibliothèques et librairies sont ses églises, et ceci est une cathédrale. »

    On adore : les personnages, la couverture, les révélations sur la mère des sœurs, le fait qu’il n’y est PLUS de triangle amoureux, le style de l’auteur.

    On regrette : Le fait que l’on ne suive pas une des sœurs en particulier dans chaque tome,  que l’action mette un peu de temps à démarrer.

    Chronique du tome 1 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/soeurs-sorcieres-tome-1-de-jessica-spotswood-a98451403#


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  • La quête d’Ewilan

    Tome 1 : D’un monde à l’autre

    Pierre Bottero

     

     

     

     

    Titre en VO : D’un monde à l’autre

    Année de la première publication (en France) : 2006

    Nombre de pages : Dans mon édition (l’intégrale) 261.

    Editeur : Rageot

    Site de l’éditeur : http://www.rageot.fr/ 

    ISBN : 978-2-7002-3749-8 (intégrale de la série la quête d’Ewilan)

    Site de l’auteur : Aucun

    Ma note : 10/10

    Publique conseillé : Tout publique.

    Quatrième de couverture :

    La vie de Camille, adolescente surdouée, bascule quand elle pénètre par accident dans l'univers de Gwendalavir avec son ami Salim. Là, des créatures menaçantes, les Ts'liches, la reconnaissent sous le nom d'Ewilan et tentent de la tuer. Originaire de ce monde, elle est l'héritière d'un don prodigieux, le Dessin, qui peut s'avérer une arme décisive dans la lutte de son peuple pour reconquérir pouvoir, liberté et dignité. Epaulée par le maître d'armes de l'empereur et un vieil érudit, Camille parviendra-t-elle à maîtriser son pouvoir ?

     

    Mon avis :

    Je suis fan de cet auteur. J’avais déjà lu ce livre, ainsi que la série Le pacte des marchombres, mais ce fut un plaisir de le relire.

    Le résumé est assez explicite quant à l’histoire, me semble-t-il, donc je ne vais pas revenir sur l’histoire, juste apporter quelques précisions.

    Quand on dit « la lutte de son peuple pour reconquérir pouvoir, liberté et dignité », il faut savoir que l’empire de Gwendalavir est en guerre contre les Ts’liches. Et c’est pour qu’elle n’aide pas l’empire qu’ils veulent tuer Ewilan. J’espère que c’est assez clair, sinon, vous m’en voyez confuse…

     

    On a ici affaire à un livre qui peut vraiment se lire tôt. Je l’ai lu pour la première fois en quatrième, mais je me vois parfaitement le lire plus tôt. Avant de le commencer, j’avais d’ailleurs peur qu’il soit, comment dire,…« enfantin » ? Mais non, on peut le lire plus tard. Pour mon plus grand bonheur…

    Il est moins poétique que Le pacte des marchombres, sur un ton plus drôle. Je pense qu’il est à lire avant (moi, j’avais fait l’inverse, mais ça ne pose pas problème pour autant). J’adore le style, et le caractère enjoué de Salim (meilleur ami d’Ewilan, qui vient aussi de notre monde) donne dans beaucoup de leurs échanges (à Salim et Ewilan) une bonne touche d’humour, très agréable. Le style est fluide, le monde est détaillé, creusé et on a envie de le découvrir plus profondément. L’auteur à travailler dessus, ça se sent.

    Malgré un début somme toute assez banal (une fille qui a été adoptée, que ses parents n’aime pas et qui découvre un monde parallèle, ce n’est pas très original), le livre se démarque. Et on réussi à avoir du suspens. Très peu, mais juste assez pour qu’on ait envie de lire la suite. Agréable dosage.

     

    Les personnages sont pétillants, plein de vie. Ewilan a son caractère têtu, elle aime savoir ce qu’elle fait et où elle va, elle n’aime pas qu’on lui dicte sa conduite. C’est une enfant surdouée.

    Salim, lui, est drôle et enjouée. Il sait toujours dédramatiser une situation. Et c’est un bon gymnaste.

    Ellana reste assez mystérieuse, mais on ne l’a pas encore beaucoup vu.

    Edwin, le maître d’arme de l’empereur, est un homme sûr de lui, doué aux arts du combat, et habitué à être obéi.

    Bjorn est un chevalier somme toute sympathique, au caractère jovial, qui, je pense, fera preuve de courage en temps voulu, bien qu’il ait des progrès à faire côté vantardise. Il est tourné sur la boisson, bien sûr.

    Duom, le vieil érudit, n’est pour l’instant pas très creusé, mais parait sage.

    Ce sera tout question personnages.

    Que dire de plus ? Rien ne me vient, donc voilà un petit extrait.

     

    Extrait : (choix : un échange entre Salim et Ewilan)

    « — C’est possible. Mes parents, les vrais, ont dû faire les choses correctement. Je les imagine mal nous abandonner sur les marches d’une église par une froide nuit d’hiver.

    — Dommage, ça rendrait ton histoire encore plus pathétique !

    — Salim, tu as une cervelle de crustacé. Il est possible que le juge ait conservé des documents nous concernant, mon frère et moi. Il faut mettre la main dessus.

    — Tu comptes entrer dans son bureau et lui demander gentiment la permission de fouiller dans ses archives ?

    — Une cervelle de crustacé débile ! Après les cours, ce soir, nous passerons devant le tribunal et nous aviserons pour la suite.

    — Bien chef ! Le crustacé est à vos ordres ! »

     

    On adore : Les personnages, le léger suspens, l’histoire et le je ne sais quoi qui la démarque, et le style accessible à tout âge... Bref je pense que tout résumerait mieux.

    On regrette : Juste une apparente banalité au départ qui pourrait arrêter certain lecteur ? (A condition qu’ils ne soient pas courageux pour deux sous.)

     


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  • Demain j’arrête !

    Gilles Legardinier

     

    Demain j'arrête !, de Gilles Lagardinier

     

     

     

    Titre en VO : Demain j’arrête !

    Année de la première publication (en France) : 2011

    Nombre de pages : 350

    Editeur : Fleuve noir

    Site de l’éditeur : http://www.fleuve-editions.fr/livres-romans/ 

    ISBN : 978-2-265-09430-7  (grand format)

    Site de l’auteur : http://gilles-legardinier.com/index.php 

    Ma note : 10/10

    Publique conseillé : Tout public, peut-être un peu plus féminin.

    Quatrième de couverture :

    Réparer une prise électrique en tenant les fils entre ses dents, voilà le genre de bêtises que Julie commet à longueur de temps ! Et quand elle est amoureuse, cette Miss Catastrophe élève son talent au rang d’art. Sa dernière folie ? L’obsession qu’elle nourrit à l’égard de son nouveau voisin… qu’elle n’a encore jamais vu ! C’est plus fort qu’elle, cet inconnu l’attire et l’intrigue.

    Pour l’approcher, Julie va développer des trésors d’inventivité et prendre des risques toujours plus délirants…

     

    Mon avis :

    C’est un coup de cœur ! Comme Et soudain tout change. Je crois que je vais m’aventurer dans la bibliographie de Gilles Legardinier, moi…

    Très drôle, plein d’humour, un style accrocheur, des personnages épanouis, un peu loufoque parfois, mais profonds et touchants. Et une histoire drôle, et à rebondissement. Menée un peu comme une enquête. Un peu logique quand on sait que cet auteur a fait deux thriller avant de s’essayer à la comédie avec Demain j’arrête !.

     

    L’histoire, c’est celle de Julie, une jeune femme de 28 ans (si mes souvenirs sont bons). Plus précisément, elle se répond à elle-même à une question qu’on lui a posée. A savoir : « C’est quoi le turc le plus idiots que tu es fait dans ta vie ? » Elle pourrait répondre beaucoup de chose, mais elle tient à être honnête avec elle-même. Elle raconte donc l’histoire, et on en profite avec elle. C’est donc dans son amour pour le nouveau voisin que se situent ses plus grands trucs idiots… Elle réussit à se faire prendre dans ses bras sans même avoir vu à quoi il ressemblait !

     

    Il y a beaucoup à découvrir sur le voisin en question. Ricardo Patatras, c’est son nom. Et il a ses petits secrets… Il est attentionné, j’apprécie le personnage, mais surtout pour sa dose de mystère.

    Les personnages secondaires sont sympas, je suis fan de Xavier. Un gars cool, sans prise de tête. Avec une obsession, qui le rend bizarre, celle de se construire lui même une voiture blindée. Je craque toujours pour les personnages un peu loufoques moi ! Sinon, il y a Sophie (peut-être pas très creusée) et le groupe des filles célibataires, Madame Bergerot la boulangère, Madame Roudan la vieille dame du quatrième, et d’autres.

     

    On sent tout de même, quand on a lu Et soudain tout change, un roman écrit après celui que je chronique, que le style de la comédie n’est pas encore totalement acquis pour l’auteur dans cet essaie de reconversion, puisqu’il sera mieux ensuite. Me demandez pas en quoi, je ne serais pas capable de répondre. Vous osez demander quand même ? Pas cool pour moi. D’accord, j’essaie… Mais c’est juste une impression comme ça. Je dirais que c’est un truc dans les personnages, surtout avec les secondaires, ils ne sont pas utilisés de la même façon. Mais c’est une impression. Il y a peut-être d’autres détails sur lesquels je n’arrive pas à mettre le doigt.

     

    Je ne vais pas tarder à lire Complètement cramé, le roman écrit entre Demain j’arrête ! et Et soudain tout change, je pense que je trouverais un style intermédiaire. Je vous tiens au courant !

     

    Extrait : (choix : je le trouve drôle.)

    « Un jour, il faudra que quelqu’un m’explique pourquoi les mecs s’entendent aussi vite et aussi bien. A les voir côte à côte, on dirait qu’ils sont copains d’enfance, qu’ils ont fait trois guerres ensemble en se sauvant la vie à tour de rôle. Et ces deux spécimens ne constituent pas un cas isolé. Vous mettez deux garçons dans la même pièce, ou n’importe où ailleurs, et en trois minutes ils se tutoient, en cinq ils rigolent en faisant des sous-entendus qu’ils ont l’air de tous comprendre et, une heure après, leur mère jureraient qu’ils sont frères. Comment est-ce possible et pourquoi ce n’est pas la même chose chez nous, les filles ? »

     

    On adore : Tout !

    On regrette : Je cherche encore…

     


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  • La nuit

    Elie Wiesel

     

    La nuit, d'Elie Wiesel

     

    Titre en VO : La nuit

    Année de la première publication (France) : 1958

    Nombre de pages : 200

    Editeur : Editions de Minuit

    Site de l’éditeur : http://www.leseditionsdeminuit.fr/f/index.php 

    ISBN : 978-2-7073-1992-0 (format kindle)

    Site de l’auteur : Aucun

    Ma note : Aucune car je ne pourrais juger un tel témoignage

    Publique conseillé : Filles comme garçons qui souhaite en savoir plus sur la détention des juifs dans les camps durant la seconde guerre mondiale

    Quatrième de couverture :

     Ce que j'affirme, c'est que ce témoignage qui vient après tant d'autres et qui décrit une abomination dont nous pourrions croire que plus rien ne nous demeure inconnu, est cependant différent, singilier, unique...
    L'enfant qui nous raconte ici son histoire était un élu de Dieu. Il ne vivait, depuis l'éveil de sa conscience, que pour Dieu, nourri du Talmud, ambitieux d'être initié à la Kabbale, voué à l'Éternel. Avions-nous jamais pensé à cette conséquence d'une horreur moins visible, moins frappante que d'autres abominations. - la pire de toutes, pourtant, pour nous qui possédons la foi: la mort de Dieu dans cette âme d'enfant qui découvre d'un seul coup le mal absolu ?

    Mon avis :

    Pour le bac de français, j’ai étudié un extrait de ce livre puis je me suis dit que ce serait bien si je lisais en entier. Voilà qui est fait.

    C’est le témoignage d’Elie Wiesel, un homme juif qui a été déporté, alors âgé de 16 ans avec sa famille dans les camps de concentration en Allemagne. Il nous raconte les abominations qu’il a subies ou vues. C’est un témoignage très poignant qui nous fait prendre conscience de la cruauté humaine. Les personnages sont touchants, poignants et pleins de réalité (histoire vraie). On comprend mieux les conditions dans lesquels vivaient les juifs mais on se rend aussi compte que certains allemands ont risqués leur vie pour en sauver quelques uns.  Je ne saurai pas quoi dire d’autre si ce n’est, que c’est un témoignage poignant et qui fait réfléchir. Je remercie mon professeur de français de me l’avoir fait découvrir.

    Extrait : (choix : il montre que l’auteur n’oubliera jamais ce qu’il a vécu)

    « Jamais je n'oublierai cette nuit, la première nuit de camp qui a fait de ma vie une nuit longue et sept fois verrouillée.
    Jamais je n'oublierai cette fumée.
    Jamais je n'oublierai les petits visages des enfants dont j'avais vu les corps se transformer en volutes sous un azur muet.
    Jamais je n'oublierai ces flammes qui consumèrent pour toujours ma foi.
    Jamais je n'oublierai ce silence nocturne qui m'a privé pour l'éternité du désir de vivre.
    Jamais je n'oublierai ces instants qui assassinèrent mon Dieu et mon âme, et mes rêves qui prirent le visage du désert. 
    Jamais je n'oublierai cela, même si j'étais condamné à vivre aussi longtemps que Dieu lui-même. Jamais. »

    On adore : je ne pourrais le dire.

    On regrette : Idem.


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  • Les filles au chocolat

    Tome 3 : Cœur mandarine

    Cathy Cassidy

    Les filles au chocolat, tome 3 : Coeur mandarine de Cathy Cassidy

     

    Titre en VO : The Chocolate Box Girls, book 3, Summer’s Dream

    Année de la première publication (France) : 2012

    Nombre de pages : 300

    Editeur : Nathan

    Site de l’éditeur : http://www.lireenlive.com/ 

    ISBN : 978-2-09-254091-6 (grand format)

    Site de l’auteur : http://www.cathycassidy.com/ 

    Ma note : 10/10

    Publique conseillé : filles à partir de 11 ans

    Quatrième de couverture :

    Je m’appelle : Summer Tanberry

    Mon âge : 13 ans

    Je suis : perfectionniste

    Mon style : leggings et robe à la mode

    J’aime : la danse, la danse, la danse

    Je rêve : de devenir danseuse professionnelle

    Mon problème : j’ai l’impression que tout m’échappe au moment où je voudrais tout contrôler…

    Mon avis :

    Comme pour les deux premiers un coup de cœur, frais et léger.  Cette fois-ci, nous suivons Summer, la jumelle de Skye (l’héroïne du tome 2). La jeune fille de 13 ans est passionnée de danse classique et rêve d’en faire son métier. Sa mère s’est remarié avec Paddy, son beau-père et part en lune de miel au Pérou. Pendant le voyage de sa mère, Summer décide de passer une audition pour entrer dans une prestigieuse école de danse. Ne va-elle pas mettre sa vie en danger ?

    Les personnages sont toujours aussi sympas. Summer, est une jeune fille déterminée et très sûre d’elle qui ferait tout pour accéder à ses rêves. Skye, Coco Honey (les sœurs de Summer) et Cherry (sa demi-sœur) sont toujours aussi pétillantes, même si Honey est un peu antipathique.  Mamie Kate – qui vient garder les filles pendant l’absence des parents – est une femme gentille, attentionnée même si elle ne se rend pas compte des choses étranges qui se passent sous ses yeux. Zack, le petit ami de l’adolescente, est un peu bizarre et est très populaire. Jodie, une amie de danse, est une fille gentille qui s’inquiète pour Summer. Miss Elise, le professeur de danse, est une femme autoritaire avec un grand cœur.

     Le style de l’auteur est toujours aussi agréable, les chapitres courts défilent sans s’en rendre compte. A travers l’aventure de Summer, Cathy Cassidy fait passer un message sur l’anorexie et ses dangers. La couverture est toujours aussi belle et donne terriblement faim.

    Une très bonne lecture et je lirai le tome 4 avec grand plaisir comme toujours !

    Extrait : (choix : très belle phrase)

    « Son baiser a un goût de carotte, de mandarine et d'espoir, et je souris. »

    On adore : L’écriture de l’auteur, le message véhiculé,  les personnages.

    On regrette : Honey, le fait que Mamie Kate ne voit pas ce qu’il se passe. 

    Chronique du tome 1 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/les-filles-au-chocolat-tome-1-coeur-cerise-de-cathy-cassidy-a96682897#

    Chronique du tome 2 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/les-filles-au-chocolat-tome-2-coeur-guimauve-de-cathy-cassidy-a105820542#

    Chronique du tome 4 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/les-filles-au-chocolat-tome-4-coeur-coco-de-cathy-cassidy-a108680238

    Chronique du tome 5 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/les-filles-au-chocolat-tome-5-coeur-vanille-de-cathy-cassidy-a114113434


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