• Cité 19, tome 1 : Ville noire de Stéphane Michaka

     

    Cité 19

    Tome 1 : Ville noire

    Stéphane Michaka 

      

     

    Cité 19, tome 1 : Ville noire de Stéphane Michaka

     

     

     

    Titre en VO : Cité 19, tome 1 : Ville noire 

    Année de la première publication (France) : 2015  

    Nombre de pages : 349 

    Editeur : Pocket jeunesse 

    Site de l’éditeur : https://www.pocketjeunesse.fr/ 

    ISBN : 978-2-823-80778-3 (format Kindle) 

    Site de l’auteur : http://www.stephanemichaka.com/ 

    Ma note : 7/10

    Publique conseillé : Adolescents à partir de 15 ans

    Quatrième de couverture :

    Que faisait le père de Faustine à minuit au sommet de la tour Saint-Jacques ? Et qui l'a précipité dans le vide ? Convoquée pour identifier le corps, Faustine ne reconnaît pas les mains de son père. Persuadée qu'il a été kidnappée par une secte mystérieuse, elle se lance sur la piste d'un inquiétant personnage. Elle suit l'homme dans une station de métro, trébuche, perd connaissance et se réveille... 150 ans plus tôt ! Pour Faustine, c'est le début d'une série d'aventures, aux confins du thriller, de la science-fiction et de l'Histoire.

     

     

    Mon avis :  

    Je souhaite vous laisser la surprise de ce roman, donc pas de résumé.

     

     

    Les personnages sont bien creusés et travaillés. 

    Faustine, 17 ans vit avec son père, gardien du musée d'Orsay, à Paris. Elle n'a plus de nouvelles de sa mère depuis plusieurs années. La jeune femme est passionnée par tout ce qui touche au 19ème siècle (vêtements, coutumes...).

     

     

    Ses amis, Vikram et Morgane sont attachés à elle même si Morgane est une petite peste.

     

     

    Lucie est une jeune fille surdouée que l'on rencontre dans la deuxième partie du récit.

     

     

    Au début, l'écriture de l'auteur est déroutante, car il utilise dans le premier chapitre un point de vue externe, omniscient. On peut croire que l'histoire nous sera raconté de ce point de vue, mais dès le second chapitre, Faustine en sera la narratrice.

     

    Mis à part, ces petits détails, l'écriture de Stéphane Michaka est agréable, on sent que des recherches sur le 19ème siècle ont été faites.  

     

     

    L'auteur aborde aussi la notion, même de façon très légère, du syndrome de Stockholm - cet état où une personne prisonnière voue une admiration sans faille à son ravisseur -.

     

     

    Malgré tout, l'action a du mal à se mettre en place, le récit prend son temps pour poser les bases.

     

     

    La fin est haletante ! On a envie de lire la suite...

     

     

    Extrait : (choix : la raison et le sentimental, deux choses différentes. 

    "Pour la première fois, le mot "inconsolable" correspondait à quelque chose de réel pour Faustine. Elle comprit que certains mots devaient être appris deux fois : la première avec le cerveau, la seconde avec le cœur. "

     

      

    On adore : Les personnages, l'écriture, l'univers. 

    On regrette : Des longueurs.


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