• Chroniques Lunaires

    Tome 3 : Cress

    Marissa Meyer

    Chroniques Lunaires, tome 3 : Cress de Marissa Meyer

    Titre en VO : Cress

    Année de la première publication (France) : 2014

    Nombre de pages : 658

    Editeur : Pocket Jeunesse

    Site de l’éditeur : http://www.pocketjeunesse.fr/livres-jeunesse/ 

    ISBN : 978-2-266-22024-8  (format kindle)

    Site de l’auteur : http://www.marissameyer.com/ 

    Ma note : 9/10

    Publique conseillé : Filles à partir de 14 ans.

    Quatrième de couverture :

    Cinder et le capitaine Thorne se sont enfuis aux côtés de Scarlet et de Loup. Le groupe rebelle projette de renverser la reine Levana et son armée. Mais, le seul espoir de la résistance réside dans Cress, qui, emprisonnée dans un satellite depuis l'enfance avec ses écrans pour seule compagnie, est devenue un hacker imbattable. Malheureusement, la reine Levana a d'autres projets pour elle, et libérer la jeune fille pourrait bien leur coûter cher... 

     

    Mon avis :

    J’ai un « tout petit peu » moins apprécié cette suite, mais rien de bien méchant.

    ATTENTION : Risque de spolier sur les tomes 1 et 2 !!

    Nous retrouvons nos personnages quelques temps après le final du tome 2. Ils veulent détrôner la reine Levana et empêcher son couronnement d’impératrice. Cinder est plus motivée que jamais ! Dans un second temps, nous apprenons à connaître Cress – ou Croissant de lune – qui est une jeune fille geek qui travaille pour le compte de la Lune en faisant des  manipulations pour le réseau informatique. Son chemin va croiser celui  de Cinder et cela va amener un tournant dans sa vie.

     

    Cette fois-ci Marissa Meyer réinvente le conte de Raiponce. Ce tome amène un tournant dans la série.

     

    Cress est une jeune geek qui est prisonnière d’un satellite depuis 8 ans. Elle ne connait rien du monde extérieur et s’émerveille de tout et de rien (pierre, arbre, sable…)  Quoi de plus normal non ? Malgré tout, au bout d’un moment ce comportement est un peu « lassant ».

    Thorne, qui aime se faire appeler « capitaine Thorne » est un peu moins amusant que dans les livres précédents. Il montre ici toute sa fragilité.

    Nous suivons Scarlet (personnage principal du tome 2) indépendamment des autres. Elle est toujours aussi adorable.

     

    L’écriture est fluide et très adictive.

    La dimension politique prend une part plus importante qu’avant.

    L’objet-livre est toujours aussi beau, les débuts de chaque partie (4 au total) sont décorés !

     

    La fin est…. Oh My God quelle fin !!!!

    Du suspens, de l’action, de la romance, bref il va falloir attendre la fin de l’année 2015 pour avoir la suite. Je sens que cela va être dur !

     

    En résumé, une très bonne suite malgré quelques bémols sur certains personnages.

     

    Extrait : (choix : au hasard)

    « - Plus de photos ces temps-ci, hein ? murmura Jacin alors qu’ils quittaient la boutique. Tu deviens une vraie Lunaire.
    Cinder plissa les paupières en sortant dans le soleil.
    - Je deviens surtout une vraie criminelle en cavale, oui ! »

     

    On adore   : Les personnages, l’écriture, l’univers, l’objet-livre, la fin.

    On regrette : Le comportement un peu « enfantin » de Cress.

    Chronique du tome 1: http://oceanlivresque.eklablog.fr/chroniques-lunaires-tome-1-cinder-de-marissa-meyer-a105610696

    Chronique du tome 2 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/chroniques-lunaires-tome-2-scarlet-de-marissa-meyer-a107672802


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  • La révolution des fourmis

    Bernard Werber

     

    La révolution des fourmis, de Bernard Werber 

    Titre en VO : Le révolution des fourmis

    Année de la première publication (en France) : 1996

    Nombre de pages : 670

    Editeur : le livre de poche

    Site de l’éditeur : http://www.livredepoche.com/ 

    ISBN : 978-2-253-14445-8 (format poche)

    Site de l’auteur : http://www.bernardwerber.com/ 

    Ma note : 8,5/10

    Publique conseillé : Plutôt jeunes adultes et plus (même raisons que précédemment)

    Quatrième de couverture :

    Que peuvent nous envier les fourmis ? L’humour, l’art et l’amour. Que peuvent leur envier les hommes ? L’harmonie avec la nature, l’absence de peur, la communication absolue.

    Après des millénaires d’ignorance, les deux civilisations les plus évolués de la planète vont-elles enfin se rencontrer et se comprendre ?

    Sans se connaître, Julie Pinson, une étudiante rebelle, et 103°, une fourmi exploratrice, vont essayer de faire la révolution dans leur monde respectif pour les faire évoluer.

    Les Fourmis était le livre du contact, Le Jour des fourmis le livre de la confrontation. La Révolution des fourmis est le livre de la compréhension.

    Mais au-delà du thème des fourmis, c’est une révolution d’humains, une révolution non violente, une révolution faite de petites touches discrètes et d’idées nouvelles que nous propose Bernard Werber.

    A la fois roman d’aventures et livre initiatique, ce couronnement de l’épopée myrmécéenne nous convie à entrer dans un avenir qui n’est peut-être pas seulement de la science-fiction…

     

    Mon avis :

    Et bien la série est finie !

     

    On a un livre presque à la hauteur des deux autres.

    J’ai mis une note un peu moins bonne, je vous explique pourquoi. On à toujours le style simple et efficace, de plus en plus agréable. C’est toujours creusé, bien pensé, logique, censé. Même les personnages sont plus creusés ! (En dehors d’un choix de Julie qui m’a déranger sur la fin, mais je ne dévoilerait pas lequel.) Mais on n’a pas le même suspens. Il faut attendre la troisième partie pour le retrouver. Ce qui fait qu’avant, on est moins dedans. C’est ça qui m’a déçue. Ce manque là a été bien comblé par la fin, cependant (heureusement, sinon la note n’aurait pas été de 8,5 mais plutôt de7), quand on a retrouvé le rythme, on est dedans à nouveau, à mon plus grand bonheur.

     

    On a toujours les chapitres super courts, à part sur la fin où ils sont un peu plus long, mais ça ne dérange pas, on lit tellement tant elle est bien… On retrouve encore, parsemés dans le livre, les extraits de l’Encyclopédie d’Edmond Wells (voir tome 1). Le tout re-séparée en quatre parties. On a une belle symétrie entre le début et la fin, comme de la géométrie. Et les parties sont les quatre couleurs d’un jeu de carte, ce que je trouve pas mal c’est que le dernier mot d’une partie soit le nom de la partie suivante. Je tire mon chapeau pour cette construction ! Peut-être pas vraiment poétique, mais compliquée, amusante et assez logique.

     

    On retrouve toujours l’énigme. Et je l’aie cherché la solution, mais introuvable ! Si quelqu’un y arrive, faite moi signe ! Et pourtant, quand je l’ai lu… Il faut juste réfléchir… « Comment faire huit triangles équilatéraux avec six allumettes ? »

     

    (Attention spoil du tome 2 !!!)

    Nous retrouvons encore une fois notre fourmi si curieuse sur les doigts. A la fin du tome 2, elle avait fini par rester avec les humains. Au début du tome 3, elle s’échappe pour aller retrouver les siens, leur parler des doigts, et essayer de préparer une alliance entre les deux.

    Du côté des humains, on suit un policier qui étudie une étrange pyramide construite dans la forêt sans permis de construire. Et Julie Pinson. Une jeune fille mal dans sa peau, un peu à l’écart. Et puis Les sept Nains du fond de la classe la sauvent lorsque quelques brutes la font souffrir. Elle devient leur Blanche-Neige et intègre leur groupe de musique. Elle a trouvé le troisième livre d’Edmond Wells (voir le tome 1). Et ses idéaux plaisent à tout le groupe, qui va les transmettre dans sa musique, au point d’en faire une révolution.

    On a donc deux révolutions simultanées.

    Et la façon dont elles se rejoignent, je crois qu’on a ici la meilleure fin imaginable.

     

    J’aurais fait court, mais il n’y a pas besoin de plus.

     

    Pour conclure sur la trilogie, c’est une série sympathique. Instructive et inattendue.

    Très réaliste. On sait qu’il sait basé sur des faits réels, mais des fois, on se demande jusqu’où l’histoire peut l’être. Si c’est dans son entier, il est temps que quelqu’un tombe sur l’encyclopédie. Bien que je sache pertinemment que c’est une histoire, je ne m’étonnerais même pas si tout cela arrivait vraiment.

     

    Extrait : (choix : Je ne vous aie pas encore mis d’extrait de l’encyclopédie d’Edmond Wells, qui ont pourtant été très présent dans les trois livres, je tiens donc à réparer cette erreur ! Je choisis celui là parce qu’il est court, mais, bien qu’assez humoristique, il n’est pas des plus instructifs ou intéressant par rapport aux autres… Enfin, désolé, mais je n’aie pas le courage de vous en retaper un long !)

    « INSTINCT GUERRIER : Aime tes ennemies. C’est le meilleur moyen de leur porter sur les nerfs. »

     

    On adore : Les personnages, la fin !!!, le réalisme, la symétrie, la logique, tout ça.

    On regrette : Un réelle manque de suspens sur le début.

    Chronique du tome 1 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/les-fourmis-de-bernard-werber-a108429710#

    Chronique du tome 2 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/le-jour-des-fourmis-de-bernard-werber-a108603132#


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  • Le jour des fourmis

    Bernard Werber

     

    Le jour des fourmis, de Bernard Werber

     

      

     

    Titre en VO : Le jour des fourmis

    Année de la première publication (en France) : 1992

    Nombre de pages : 493

    Editeur : le livre de poche

    Site de l’éditeur : http://www.livredepoche.com/ 

    ISBN : 978-2-253-13724-5 (format poche) 

    Site de l’auteur : http://www.bernardwerber.com/ 

    Ma note : 9/10

    Publique conseillé : Plutôt jeunes adultes et plus. (Encore une fois, tout n’est pas simple à comprendre.)

    Quatrième de couverture :

    Sommes-nous des dieux ? Somes nous des monstres ?

    Pour le savoir, une fourmis va partir à la découverte de notre monde et connaître milles aventures dans notre civilisation de géants.

    Parallèlement, un groupe de scientifiques humains va, au fil d’un thriller hallucinant, comprendre la richesse et la magie de la civilisation des fourmis, si proche et pourtant si peu connue.

     

    Mon avis :

    Voilà un deuxième tome qui suit le premier ! Pour mon plus grand plaisir…

    On retrouve le même suspens constant, on continu à apprendre beaucoup de chose, l’histoire est toujours très bien pensée, très creusée, le style est toujours efficace et simple (je le trouve aussi plus agréable à lire, peut-être)…

     

    Ainsi, je n’ai pas été déçue, la fin du bouquin précédent est très bien prolongée.

    Par contre, j’ai un regret, les personnages humains ne sont, encore une fois, pas très creusés. Enfin, ceux qui sont dans le tome 1 et reparaissent dans ce tome-ci (Jonathan et ses compagnons). Ceux que l’on découvre ici ont déjà une psychologie bien mieux exposée. Reste que, même si l’histoire en elle-même compense, ça me déçoit un peu.

    Les personnages fourmis ont une psychologie « « fourmis, une vision du monde « fourmis » (très pragmatique et axé sur l’instant présent, et à la fois très curieuse) mais celles qui ont été au contact des humains dans le tome un sont plus évoluées, elles prennent des choses de nous.

     

    L’inconvénient des chapitres ne parait plus ici ! Ça, c’est vraiment bien, on lit beaucoup plus facilement et donc plus vite, je trouve. On a toujours de grandes parties (au nombre de six ce coup-ci), mais à l’intérieur, c’est recoupé en « chapitre ». Ils sont tellement petits qu’on lit une partie entière presque sans s’en rendre compte. Beaucoup plus agréable !

     

    En bonus, on trouve toujours une énigme. Et même deux, ce coup-ci. J’ai réussi la première, mais la deuxième m’a échappé, ce coup-ci. Je vous les donne ? Aller, je suis gentille… Je vous autorise à vous creuser la tête ! (Faites quand même en sorte qu’il vous reste un bout de cerveau)

    Enigme 1 : C’est une suite de nombre. Trouverez vous la ligne suivante ?

    1

    11

    21

    1211

    111221

    312211

    13112221

    1113213211

     

    Enigme 2 : Reprenez vos six allumettes, mais ce coup-ci, vous devez faire non pas quatre mais six triangles équilatéraux.

    Bonne chance !

     

    (Attention, spoil du tome 1 !!!)

    Donc, ici, on retrouve les fourmis du dernier livre, qui ont appris que l’existence des doigts n’est pas un mythe, et la nouvelle reine souhaite les exterminer et lance une expédition au bout du monde pour tuer les Doigts, ces monstres qui utilisent le feu. Mais des rebelles se cachent dans ses murs. Et, contre ses ordres, elles volent pour nourrir la doigtilière qui se trouve sous la fourmilière.

    Dans la doigtilière, on retrouve Jonathan et tout ceux qui ont disparus dans la cave dans le tome 1. Ils sont bloqué là, et poursuivent l’œuvre d’Edmond Wells, rentré en communication avec les fourmis. Le fils de Jonathan fait passer les Homme pour des Dieux au près des fourmis dans le but qu’elles les nourrissent mieux.

    Mais des fourmis religieuses, c’est contre nature. Et nous verrons ce qu’il adviendra d’elles plus tard.

    Au milieu, une fourmis qui ne sait que penser. Pour ou contre les doigts ? Montres ou dieux ?

    Nous sommes ainsi remis en cause tout au long du livre.
    En parallèle, on a un commissaire trop sûr de lui et une journaliste humanophobe qui enquêtent sur les meurtres de scientifique en quête d’un ultime insecticide.

    Nous verrons où ces histoires parallèles se rejoignent. Le dénouement est très intéressant, dans le même style que pour le premier livre.

     

    Extrait : (choix : J’en sais rien.)

    « — Je tenais à vous remercier pour votre intervention. Vous voyez, Méliès, j’avais raison. L’homme est notre plus grand prédateur. Ma peur est des plus logique.

    — N’exagérons rien. Il ne s’agissait que de voyou sans grande envergure.

    — Pour moi, qu’ils aient été de simples désoeuvrés ou des tueurs, cela n’aurait rien changé. Les hommes sont pires que les loups. Ils ne savent pas maîtriser leurs pulsions primitives. »

     

    On adore : Le ton, la simplicité, qu’on apprennent plein de choses, le suspens, l’enquête des uns et la quêtes des autres, enfin tout…

    On regrette : Juste que le peuple de la doigtilière ne soit pas assez creusé.

    Chronique du tome 1 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/les-fourmis-de-bernard-werber-a108429710#

    Chronique du tome 3 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/la-revolution-des-fourmis-de-bernard-werber-a108998438


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    Les fourmis

    Bernard Werber

     Les fourmis, de Bernard Werber

     

     

    Titre en VO : les fourmis

    Année de la première publication (en France) : 1991

    Nombre de pages : 306

    Editeur : Le livre de poche

    Site de l’éditeur : http://www.livredepoche.com/ 

    ISBN : 978-2-253-06333-9 (format poche)

    Site de l’auteur : http://www.bernardwerber.com/ 

    Ma note : 9/10

    Publique conseillé : Plutôt jeunes adultes et plus (tout n’est pas facile à la comprenette)

    Quatrième de couverture :

    Le temps que vous lisiez ces lignes, sept cents millions de fourmis seront nées sur la planète. Sept cents millions d’individus dans une communauté estimée à un milliard de milliards, et qui a ses villes, sa hiérarchie, ses colonies, son langage, sa production industrielle, ses esclaves, ses mercenaires… Ses armes aussi. Terriblement destructrices.

    Lorsqu’il entre dans la cave de la maison léguée par un vieil oncle entomologiste, Jonathan Wells est loin de se douter qu’il va à leur rencontre. A sa suite, nous allons découvrir le monde fabuleusement riche, monstrueux et fascinant de ces « infra-terrestres », au fil d’un thriller unique en son genre, où le suspens et l’horreur reposent à chaque page sur les données scientifiques les plus rigoureuses. Voici pour la première fois un roman dont les héros sont des… fourmis !

    Mon avis :

    Dans ce livre, on alterne l’histoire de Jonathan et de sa famille et celle des fourmis, pour voir où elles se rejoignent. On suit deux quêtes de la vérité. J’ai imaginé beaucoup de façon pour que les deux histoires se rencontrent, mais aucune n’a été la bonne. L’auteur a réussi à me surprendre. Et pas qu’un peu ! Le suspens est présent, et s’il n’est pas « insoutenable » au point qu’on n’en lâche plus le bouquin, mais il est quand même bien là. Et surtout, il est constant.

    C’est une bonne lecture, mais pas très facile. Les parties sur les fourmis sont basées sur des fait scientifiques, on apprend donc beaucoup de choses.

    Les personnages ne sont pas très creusés, mais l’histoire l’est tellement que ça compense largement. Et je pense (j’espère aussi) qu’ils le seront plus dans le tome deux. En fait, pour l’instant, il n’y a qu’un personnage dont on connaisse vraiment l’histoire, c’est l’oncle de Jonathan, Edmond. L’ironie du sort veut que se soit sa mort qui cause l’histoire…

    Le style n’est ni poétique ni recherché, mais il est simple et efficace.

    Un inconvénient, c’est que l’histoire n’est pas séparée en chapitres, mais seulement en quatre parties, ce que je n’ai pas trouvé très pratique à la lecture.

    La fin m’a laissée un gros blanc pour la suite. Je suis impatiente de la lire (ça ne saurait tarder).

    J’ai fait assez court comme chronique (ou alors c’est une impression), mais je ne vois pas quoi dire de plus pour l’instant. Donc voilà pour cette fois !

    Extrait : (choix : En bonus on a une énigme à résoudre, elle n’est pas facile. Et j’ai réussi ! (après y avoir réfléchie un bout de temps) Je vous la mets. Bonne chance à ceux qui essaie ! Si quelqu'un trouve du premier coup, qu'il mette un commentaire, parce que je n'ai encore trouvé personne et c'est pas faute de poser l'énigme autour de moi.)

    « — Je me souviens qu’une fois, oh ! il devait avoir à peine onze ans, il m’a mise au défi d’arriver à faire quatre triangle équilatéraux avec six allumettes. Ce n’est pas facile, tiens tu vas essayer pour voir…

    […]

    — Quelle est la solution ?

    Grand-mère Augusta se concentra.

    — Eh bien, en fait, je crois qu’il ne me l’a jamais livrée. Tout ce dont je me souviens c’est de la phrase qu’il m’a lancée pour m’aider à trouver : « Il faut penser différemment, si on réfléchit comme on en a l’habitude on n’arrive à rien. » Tu t’imagines, un mouflet de onze ans sortir des trucs pareils ! »

    On adore : Le style, l’histoire, la recherche de réel, le suspens… Et beaucoup de chose !

    On regrette : De ne pas bien connaître les personnages.

    Chronique du tome 2 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/le-jour-des-fourmis-de-bernard-werber-a108603132

    Chronique du tome 3 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/la-revolution-des-fourmis-de-bernard-werber-a108998438


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  • Chroniques Lunaires

    Tome 2 : Scarlet

    De Marissa Meyer

     

    Chroniques Lunaires, tome 2 : Scarlet de Marissa Meyer

     

      

    Titre en VO : Scarlet

    Année de la première publication (France) : 2013

    Nombre de pages : 476

    Editeur : Pocket jeunesse

    Site de l’éditeur : http://www.pocketjeunesse.fr/livres-jeunesse/ 

    ISBN : il n’y en a pas sur les formats pour liseuse électronique. J’ai lu le livre sur ma Kindle.

    Site de l’auteur : http://www.marissameyer.com/

    Ma note : 10/10

    Publique conseillé : Filles à partir de 14 ans

    Quatrième de couverture : 

    Bien loin de l'asie et du royaume du Prince Kai, la grand-mère de Scarlet Benoit est portée disparue. Scarlet réalise alors qu’elle n’a jamais su qui était vraiment son aînée et quels dangers pouvaient bien la menacer. Quand elle rencontre Wolf, un mystérieux street-fighter qui semble savoir où est sa grand-mère, elle n’a d’autre choix que de lui faire confiance. C’est en menant leur enquête que Scarlet et Wolf croisent la route de Cinder. Ensemble ils se ligueront contre Levana, la vicieuse Reine lunaire prête à tout pour asservir les Terriens et épouser le Prince Kai.

    Mon avis :

    J’ai adoré cette suite. Marissa Meyer se frotte à la réécriture du Petit Chaperon Rouge à la manière science-fiction.

    ATTENTION ! Risques de spolier sur le tome 1 

    Nous suivons Scarlet Benoît qui habite à Toulouse dans le sud de la France. Elle vit avec sa grand-mère qui s’est reconvertie dans l’agriculture. Un jour, la vielle dame disparait mystérieusement. Sa petite fille la recherche et tombe sur un jeune homme assez étrange qui prétend s’appeler Loup (c’est son nom dans la version française). Qui est-il ? A-t-il un lien avec la grand-mère de Scarlet ?

    Scarlet est une jeune fille de 18 ans au caractère bien affirmé. Elle est très attaché à sa grand-mère et fera tout pour la retrouver. Son habit fétiche est un sweet-shirt rouge avec une capuche, elle le porte tout le temps.

    Loup, est un garçon qui fait des combats de rue. Il porte un tatouage assez étrange sur l’avant-bras. On peut le penser grincheux et dur mais il a aussi un très grand cœur.

    Emilie, la serveuse du restaurant dans lequel Scarlet livre les produits de sa ferme est fleur bleue et aime les beaux garçons. C’est une amie de la jeune fille. 

    Carswell Thorne  un prisonnier, ancien soldat de l’armée américaine et voisin de cellule de Cinder.  Il ne comprend pas grand-chose et veut tout le temps être appelé « capitaine ».

    Cinder et Kai, les personnages principaux du tome 1, n’ont pas changés.

    Les chapitres alternent avec Scarlet et Loup, Cinder et Thorne puis Kai ce qui donne une dynamique à l’histoire. Dans le livre, il y a trois mini-intrigues qui se rejoignent les unes les autres.

    L’écriture de l’auteur est toujours aussi fluide et agréable.

    En résumé, une très bonne lecture et hâte de me plonger dans le troisième !

     

    Extrait : (choix : J’aime bien ce passage)

    « - On devrait l'emmener avec nous.
    Cinder le fusilla du regard. 
    - Tu es fou ou quoi ? 
    - Fou amoureux. Elle est superbe.
    - Imbécile. Aide-moi plutôt à la porter dans le salon. »

    On adore : Les personnages, l’univers.

    On regrette : Rien !

    Chronique du tome 1 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/chroniques-lunaires-tome-1-cinder-de-marissa-meyer-a105610696#


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