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    Soy

    Chrys Galia

      

    Soy, de Chrys Galia

      

    Titre en VO : Soy 

    Année de la première publication (France) : 2018

    Nombre de pages : 430

    Editeur : Librinova

    Site de l’éditeur : https://www.librinova.com/

    ISBN : 979-10-262-1649-0 (format Kindle) 

    Site de l’auteur : https://www.facebook.com/chrysgalia/ 

    Ma note : 10/10 

    Publique conseillé : Jeunes adultes à partir de 17-18 ans 

    Quatrième de couverture

    Yohann Val, acteur en vogue et mannequin vedette de la marque SoY, désespère de comprendre l'origine de son mal-être. Contraint de se rendre d'une émission télévisée qui lui promet de réunir ses anciens camarades, il est loin d'imaginer qu'il aura des nouvelles de celle qui l'a quitté sans un mot voilà dix ans. 

    Parviendra-t-il à la retrouver, à connaître enfin les raisons qui ont motivé son départ ?

    Lorsque les secrets des uns ont des conséquences sur la vie des autres...

     

      

    Mon avis :  

    Tout d'abord, je tiens à remercier les éditions Librinova pour la confiance accordée encore une fois !

     

      

    Pour ne pas vous gâcher la surprise de la découverte de ce très beau roman, le résumé de la quatrième de couverture suffira amplement.

     

      

    Les personnages sont attachants. 

    Yohann est mal dans sa peau et ne se reconnaît plus dans sa vie de mannequin et d'acteur. Il commence à en avoir assez des événements mondains et d'être au centre de l'attention.

     

      

    Sofia est une styliste qui vit en Italie, à Milan. Elle a montée sa propre marque de vêtements : SoY, nom bien énigmatique mais qui prend du sens au fil du récit. 

    Elle est assez malheureuse dans sa vie de couple.

     

      

    Delinda, sa meilleure amie et assistante fait tout pour la faire sourire et lui faire quitter Paolo, son compagnon depuis plusieurs années. Elle est très enjouée, une vraie bouffée d'oxygène pour la jeune styliste.

     

      

    Paolo est italien et est imbu de sa personne. Il ne regarde plus vraiment Sofia comme au début de leur relation. Il se sont pourtant fiancés.

     

      

    Leo, l'agent de Yohann fait tout pour faire avancer et grandir la carrière de son ami, quitte à ne pas lui demander son avis.

     

      

    Les autres personnages sont bien et présents tout au long de l'histoire.

     

      

    L'écriture de l'auteur est simple, efficace. On s'immerge vite dans l'intrigue. Les chapitres sont racontés le plus souvent du point de vue du jeune homme, mais à certains moments, c'est Sofia qui prend le relais.

     

      

    Les thèmes abordés sont intéressants : le fait que certaines femmes à cause de l'endométriose n'arrive pas avoir des enfants naturellement, le phénomène du mannequinat et de la beauté, les secrets de famille...

     

      

    La romance - car l'on se doute bien qu'il y en aura une - est belle et touchante.

     

      

    La fin est magnifique et donne envie de lire d'autres romans de cette auteur !

     

      

    Je remercie encore une fois Librinova !

     

      

    Extrait : (choix : très beau passage, même s'il y en a plusieurs) 

    "Je suis une fleur, il est la rosée, je suis la nuit, il est l'étoile, je suis le soleil, il est les rayons. Lui et moi sommes un tout, une unité, la vie nous a séparés, es-ce que le fait de se retrouver au même endroit, au même moment, suffira à réparer les dégâts. Qu'est-ce que j'attend, qu'est-ce que j'espère ?"

     

      

    On adore : Tout sans exception ! 

    On regrette : Rien.


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  • Bluebird

    Tristan Koëgel

     

    Titre en VO : Bluebird

    Année de la première publication (en France) : 2015

    Nombre de pages : 315

    Editeur : Didier jeunesse

    Site de l’éditeur : http://www.didier-jeunesse.com/

    ISBN : 978-2-278-08160-8 (format papier)

    Site de l’auteur : non trouvé.

    Ma note : 9/10

    Publique conseillé : peut se lire à tout âge, tant qu'on n'est pas effrayé pour les quelques 300 pages. Avec un petit plus pour ceux qui aiment le blues...

    Quatrième de couverture :

    Minnie est la fille d'un musicien qui chante le blues sur les routes du Mississippi. Elwyn est le fils d'un Irlandais, le contremaître d'une plantation. Quand ces deux là se rencontrent, ils tombent amoureux. Mais dans l'Amérique des années 1940, en pleine ségrégation, qui oserait croire que leur histoire est possible ?

     

    Le destin incroyable d'une jeune chanteuse de blues, la vie de toute une plantation qui bascule, un souffle romanesque prodigieux.

     

    Mon avis :

    Il s'agit de l'histoire de Minnie, et d'Elwyn. Mais plus qu'une histoire d'amour, c'est l'histoire de leur rencontre, et de leur chemin respectif pour se retrouver. Chemin à travers l’Amérique de l'époque, dans le blues, et dans la ségrégation.

    Minnie, cette petite fille d'un chanteur, spontanée, vive, avec une force de caractère. Elle vit une vie nomade avec son père, d'un endroit à l'autre dans les états du Sud. Et le hasard les fait atterrir dans une plantation de coton pour quelques jours. Et ce qui aurait pu être une étape comme une autre sera un tournant. D'abord, par la rencontre d'Elwyn, petit Irlandais, avec son violon, blondinet, « fils de », mal vu par les autres. Et pourtant, un lien va se crée, un lien fragile, distant, mais bien présent.

    Et ce passage sera aussi un tournant, car il finira par la séparation. Séparation pour Minnie, de cet Elwyn, et aussi séparation de son père. Je tarais les événements qui ont menés à cette séparation, c'est à découvrir lors de la lecture, mais ça conduira Minnie loin, dans le Nord, à Chicago, seule. Et la suite du récit, ça sera d'un coté celui de la plantation, des événements qui s'y passent, d'Elwyn, qui est présent pour ces moments, et qui rêve de retrouver sa Minnie. Et de l'autre coté, de Minnie, de sa vie à Chicago, et du hasard qui la mènera à réaliser son rêve.

     

    On a affaire à des personnages qui m'ont touchée, Minnie m'a prise et m'a emmené de force avec elle, avec sa façon d'être, spontanée, de dire ce qu'elle pense. Elwyn, plus discret, m'a donné envie de l'accompagner, d'être à ses cotés pour le soutenir.

    Et les personnage secondaire m'ont aussi fait chavirer.

    Papy, le vieux qui se prend pour un jeune, pour lequel j'ai eut énormément de tendresse.

    Kate, un ouragan pétillant, m'a fait rire, et m'a donné envie d’être entraîner dans son sillage.

    Curtis, c'est une certaine compassion qu'il m'a inspiré.

    Silas, un homme mauvais, odieux, je l'ai détesté. Et pourtant, il a son lot de surprise...

    Et Nashoba, déraciné, et si fort à mes yeux, m'a provoqué à la fois e l'admiration et de la peine.

    Bref, un certain nombre de personnages, qui ne laissent pas indifférent, qui nous font plonger dans le récit.

     

    Voilà pour l'histoire en elle même. Elle prend place dans les années quarante, dans l'Amérique ségrégationniste. J'ai d'ailleurs hésité à classer ce roman dans la section historique. Mais ce fond n'est pas le plus important de l'histoire. Il prend sa place, il est important, mais ce n'est pas central. Je n'ai rien appris que je ne connaissais pas d'un point de vue historique, mais l'avantage, c'est qu'un jeune public, avec des notions vagues sur cette période, peut parfaitement lire le livre et le comprendre. Par exemple, le KKK apparaît à un moment, puisque c'est quelque chose qui prend de la place à cette période, mais sans jamais être cité réellement, jamais le sigle du KKK n'est écrit. Et pourtant, on comprend très bien.

    Le fond historique est présent, donne le contexte, mais pas trop, et ce qui est nécessaire est bien expliqué. Sans prise de tête, mais utile à l'histoire, et agréablement utilisé dans la lecture.

     

    Dans cette histoire, il y a aussi le coté très présent de la musique. Et ce fut pour moi une découverte du blues de cette période. J'aime beaucoup la musique, j'écoute de tout quand j'en ai l'occasion. Mais ce blues dans ce livre, je n'avais encore pas eut l'occasion de réellement le découvrir. Et j'ai apprécié. La musique est un fond au récit, très important, très bien amené, très agréable, et qui m'a permis une découverte que j'ai grandement apprécié.

    D'ailleurs, à la fin du livre, il y a un lien avec une playlist de toutes les musiques citées dans le livre, je vous le mets, ça vaut le coup : http://bit.ly/Bluebird-playlist

     

    L'écriture alterne les points de vue. Et le style change légèrement d'un personnage à l'autre, selon la personnalité de chacun, surtout selon sa façon d'appréhender ce qui lui arrive. J'ai été prise dans l'histoire, dans ce que ces personnages vivent. La plume de l'auteur m'a vraiment transportée sur les berges du Mississipi, ou à Chicago, proche des personnages. J'ai eut le sentiment d'accompagner ces personnages, de me perdre avec eux dans leurs péripéties, dans leur histoire.

     

    Et enfin, les voyages, les aventures, les péripéties. Ce que vivent les personnages, ce qui leur arrive, cette suite d'événements qui conduits les personnages d'un moment à un autre. Bien menés, bien décrites. Fluides. Agréables à lire.

     

    En bref, un quasi coup de cœur pour moi. J'ai dévoré le livre n même pas une journée. La fin est un peu prévisible, du moins en partie, mais n'en reste pas moins agréable à lire, et avec sa touche de magie qui m'a beaucoup touchée.

     

    Extrait : (choix : Parce que j'aime cette nuance, entre noir et blanc, mais pas gris pour autant.)

    « On refusait de voir les choses en noir et blanc comme c'était le cas dans les petites villes et les villages coupés en deux qu'on traversait, avec des magasins pour les Noirs et d'autres pour les Blancs, pareil pour les trottoirs, pareil pour les toilettes. Nous, on voyait les choses en bleu, et voir la vie en bleu, c'est la voir telle qu'elle est, toute entière. »

     

    (choix : et un deuxième, parce que ça m'a touché, cette innocence, qui permet de voir la vie en bleue.)

    « Sous un arbre, allongés l'un contre l'autre, Elwyn et la jeune fille à l'harmonica étaient endormis. Ils se tenaient la main. Ils n'avaient pas de masques, eux, et cette mascarade, ils ne la jouaient pas. N'importe qui pouvait les trouver là. J'ai pleuré, à nouveau, pas devant l'horreur cette fois, mais devant l'innocence de ces enfants. »

     

    On adore : Tout. Le contexte, l'histoire, les personnages, l'écriture. Tout.

    On regrette : Rien, strictement rien.

    Jiji


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  •  La coloc

     Jean philippe Blondel

     La coloc, de Jean-Philippe Blondel

     

    Titre en VO : La coloc

     Année de la première publication (en France) : 2015

     Nombre de pages : 146

     Editeur : Actes sud junior

     Site de l’éditeur : www.actes-sud-junior.fr

     ISBN : 978-2-330-04820-4 (format papier)

     Site de l’auteur : non trouvé

     Ma note : 7,5/10

     Publique conseillé : Un public jeune, lycéen ou fin de collège, et plus âgé pour ceux qui se laisseront tenter. Il est décrit comme un roman pour ado, mais j'estime qu'on n'est jamais trop grand pour lire un livre jeunesse.

     Quatrième de couverture : 

     Bon, la première chose que nous avons faite, quand nos parents ont tourné les talons, c'est de hurler - de joie, de soulagement. Nous étions tous les trois tendus - nous n'étions pas sûrs qu'ils iraient jusqu'au bout, nous étions convaincus qu'à un moment ou à un autre, ils allaient dire non, ce n'est pas possible, retourne à l'internat, reprends le bus, c'est une idée stupide, la colocation, à seize ans."
    Quitter le cocon familial pour vivre en colocation : le rêve pour tout lycéen ! Pourtant, rien n'aurait pu a priori rapprocher Romain, Rémi et Maxime. Mais ce nouveau quotidien va bousculer leurs certitudes et les pousser à créer un improbable et détonnant trio...

     

     Mon avis :

     Déjà, un rapide résumé de l'histoire, pour vous mettre dans le bain.

     C'est l'histoire de Romain. Dont les parents ont récupéré par héritage un appartement dans une ville pas très loin de chez eux, la ville où leur fils va au lycée. Romain, qui rêve d'indépendance, de quitter sa maison de campagne, mais ne veut pas aller à l'internat de son lycée. Romain, qui voit là une belle aubaine. Et qui arrive, par il ne sait quel miracle, à convaincre ses parents de faire une coloc dans cet appartement.

     C'est aussi l'histoire de Rémi, un gars solitaire, un geek, qui se fait malmener à l'internat, enfant unique, dont les parents souhaite le bonheur.

     Romain et Rémi habitent le même hameau, ils se connaissent depuis l'enfance, mais ne sont pas vraiment amis, ne se parlent pas plus que cela.

     C'est aussi l'histoire de Maxime, un gars très populaire au lycée, que Romain admire. Maxime, qui a trop fait le pitre à l'internat en seconde, et que l'administration refuse de reprendre l'année d'après, et qui doit trouver une solution logement.

     Et ce trio, improbable, qui ne se connaissait pas, se retrouve ensemble pour débuter l'année de première, dans un appartement, en colocation.

     

    Et nous, lecteur, nous suivons leur année, leurs découvertes, leurs apprentissages de la vie. Chacun de leur coté, et pourtant ensemble. Trois identités, que tout semble séparer, pour former une entité dans cette colocation.

     L'histoire nous est raconté du point de vue de Romain, le littéraire de la bande.

     Il y a aussi plein d'autres personnages secondaires, que nous ne citerons pas, mais qui méritent d'être lu.

     

     Le style du roman est simple, le point de vue interne est intéressant, j'ai bien aimé le lire. Je me suis retrouvée dans l'esprit de cette histoire. Même si c'est trois garçons, j'ai retrouvé les états d'âme que l'on connaît tous au moment où l'on grandit et où l'on apprend à devenir responsable. On voit la vie sous un autre angle à cete période là.

     Oui, j'ai vraiment aimé lire sur ce passage initiatique, ce moment de la vie qui nous voit grandir, non pas physiquement, mais mentalement, pour s'approcher du moment où l'on sera totalement adulte.

     

    L'histoire est simple, et se déroule toute seule. J'ai lu le livre d'une traite, en deux heures de temps.

     Une style d'écriture qui se lit très bien, qui est agréable.

     

    C'est un roman qui aborde beaucoup d'autres thèmes, même si c'est de façon succincte, comme l'amour, l'homosexualité, la cohabitation, l'adolescence, les relations familiales, le fait qu'il peut être difficile pour des parents de voir leurs enfants grandir, difficile pour eux et difficile dans leur relation. Ça aborde aussi le thèmes des découvertes, des préjugés que l'on peut avoir, et de ce que ces préjugés nous empêchent de voir.

     Bref beaucoup de choses sont abordées, même si elles ne sont pas développées, mais on ne peut pas tout développer dans un roman, et c'est juste agréable de voir que ces sujets, qui tournent autour de nos protagonistes, sont présents.

     

    Extrait : (choix : parce que c'est ce qu'ont fait les personnages de cette histoires, des découvertes. D'eux mêmes, des autres, de la vie. Et que je trouve que c'est important de découvrir, et d'apprendre à connaître. Et de mettre de coté nos préjugés.)

     «  – C'est bizarre. Je ne t'aurais jamais imaginé végétarien.

     – Je crois qu'il y a beaucoup de choses que tu ne connais pas sur moi, Romain. Je pense que, comme la plupart des gens, tu m'as palcé dans un tiroir et que tu n'as pas remis en question des préjugés. Ne t'inquiète pas, au fond, je m'en fous. Simplement, on va vivre ensemble, alors, fatalement, tu auras des surprises. Bonnes ou mauvaises.

     – Et moi, tu me vois comment ?

     – Je t'observes depuis des années. C'est intéressant. Ta grande obsession, c'est de devenir populaire. Je ne comprends pas pourquoi. On est très différents là-dessus. »

     

    On adore : Les thèmes aborder, et cette idée de grandir, de découvrir.

    On regrette : Peut-être par moment de ne pas avoir le point de vue des autres personnages, juste un paragraphe de temps en temps, parce qu'on a tous, je pense, une façon différente d'appréhender cette étape de la vie. Mais après tout, c'est un choix d'auteur, et mon regret est plus une idée qu'autre chose. Donc on ne regrette rien !

     

    Jiji


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    Aura de feu

    Tome 2 : Le jeu des masques

    Eline Coves

     

     

    Aura de feu, tome 2, d"Eline Coves

     

     

      

    Titre en VO : Le jeu des masques

    Année de la première publication (France) : 2017

    Nombre de pages : 545

    Editeur : Sudarènes éditions 

    Site de l’éditeur : http://www.sudarenes.com/ 

    ISBN : 978-2-3746-4111-9 (format Kindle) 

    Site de l’auteur : https://www.facebook.com/ElineCoves/ (page facebook de l'auteur) 

    Ma note : 7/10 

    Publique conseillé : Adolescents à partir de 14 ans 

    Quatrième de couverture :

    Lorsqu’une banale rentrée scolaire se transforme en une lutte pour leur survie, il devient évident qu’Elyne Witteck et Bluter, son Gardien, ne sont plus en sécurité, sur Terre comme dans le monde d’Emreë. Tandis que les tentatives d’assassinats semblent se multiplier contre eux, ils réalisent que leurs agresseurs sont prêts à tout pour les éliminer, quitte à mettre leurs amis et leur famille en danger… Pour espérer s’en sortir, Elyne n’a plus le choix : il lui faut trouver de l’aide. Mais vers qui se tourner, lorsqu’elle découvre que ses proches cachent de lourds secrets ?

      

    Mon avis :  

    J'ai bien aimé cette suite, il faut dire que vu la fin du tome 1, il fallais connaître la suite des aventures d'Elyne.

     

      

    Pour ne pas vous gâcher la surprise, je ne ferais pas de résumé plus complet.

     

      

    Les personnages sont toujours attachants quoique Elyne m'a légèrement agacée par son comportement. Elle adore ses amis, Edwin son petit ami et sa famille. La jeune fille va se rendre compte que certaines personnes ne lui veulent pas que du bien.

     

      

    Bluter, son Gardien est un renard avec qui elle communique par la pensée, il peut lancer des boules de feu.

     

      

    Théo, son ami qui peu lui aussi faire de la magie est jaloux de la relation Elyne/Edwin. Contrairement au premier tome, il est beaucoup moins présent dans cette suite.

     

      

    Edwin est proche de l'héroïne. Il va sans le vouloir découvrir des éléments du monde de la magie.

     

      

    Alafon, le Marcheur du Nord, un grand combattant est un peu le "garde du corps" des adolescents. Il est froid avec eux, surtout avec la jeune fille.

     

      

    On découvre de nouveaux personnages qui semblent prometteurs !

     

      

    L'écriture est simple mais efficace, on s'immerge facilement dans l'intrigue. Les chapitres sont assez longs.

     

      

    L'action est une fois de plus au rendez-vous mais elle arrive tardivement avec un "passage à vide" au milieu du récit. Dommage !

     

      

    Il y a aussi quelques fautes d'orthographes et il manque certains mots.

     

     

    La fin est bien et donne envie de poursuivre la découverte !

     

      

    Extrait : (choix : au hasard) 

    "Le mercenaire avançait d'un pas rapide et déterminé dans les couloirs. Les soldats qu'il croisait s'empressaient de s'écarter pour lui laisser le passage. Il ne leur accorda pas le moindre regard. Le mercenaire arrive devant une porte, toqua et entra sans attendre d'autorisation, puis s'arrêta dans une grande salle, au garde-à-vous. Des écrans bleutés recouvraient les murs, à la manière d'une tapisserie mouvante. On pouvait reconnaître les couloirs d'un collège, des salles de classe, un dojo, l'entrée de diverses maisons..."

     

      

    On adore : Les personnages, l'écriture, l'univers, l'action. 

    On regrette : Les fautes d'orthographes, les mots manquants, les longueurs.

     

    Chronique du tome 1


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    Les Outrepasseurs

    Tome 3 : Le libérateur

    Cindy Van Wilder

     

    Les Outrepasseurs, tome 3, de Cindy Van Wilder

     

     

       

    Titre en VO : Le libérateur

    Année de la première publication (France) : 2015

    Nombre de pages : 345

    Editeur : Gulf Stream

    Site de l’éditeur : http://www.gulfstream.fr/

    ISBN : 978-2-35488-296-9 (format Kindle) 

    Site de l’auteur : https://cindyvanwilder.wordpress.com/

    Ma note : 6/10 

    Publique conseillé : Tout public 

    Quatrième de couverture :  

    Un terrible hiver s'abat sur la Grande-Bretagne.  Peter, qui a été sauvé par Arnaud, se retrouve seul, car le Chasseur et le lion d'Arnaud sont affectés par la disparition de la magie. Arnaud tombe dans un coma profond , auquel il semble n'y avoir aucune solution. Jusqu'à ce que Peter comprenne que le sous-sol de Lion House regorge de ressources cachées…

      

    Mon avis :  

    J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. 

    Pour ne pas vous spoiler, je ne ferais pas de résumé.

     

      

    Les personnages sont attachants. 

    Shirley et Peter, les deux Héritiers renard sont beaucoup plus proches que dans les tomes précédents. 

    Peter est obligé de fuir avec Arnaud, pourchassé par Noble, le chef des Outrepasseurs.

     

      

    Arnaud, est plus présent. On le découvre enfin. Il partage son corps avec le Chasseur, un fé qui a vécut il y a très longtemps, et qui est le seul à pouvoir enlever la malédiction de la transformation en animal.

     

      

    Smokey est une jeune femme un peu rebelle. Elle ne connaît pas du tout ses origines et va être méfiante envers Peter et Arnaud qui les lui apprenne.

     

     

    Les personnages secondaires sont comme dès le début de la série, peu présents. Dommage !

     

      

    L'univers fantastique est plus développé. On découvre enfin tous les secrets.

     

      

    L'écriture est toujours agréable.

     

      

    Malgré tout, j'ai eu des difficultés à m'immerger dans l'intrigue, l'action était longue à démarrer.

     

      

    La fin est bien et se suffit à elle-même, je ne lirais donc pas le quatrième opus.

     

      

    Extrait : (choix : l'amour) 

    "J'ai aimé. Et je ne le regrette point. Bientôt, la magie me rongera jusqu'à l'os, elle me renverra au néant. Je perdrai ces souvenirs, ces sensations. Je perdrai tout. Mais j'aurais aimé. Rien ne pourra effacer cela."

     

      

    On adore : Les personnages, l'écriture, l'univers. 

    On regrette : Que l'action mette du temps à se mettre en place. 

     

    Chronique du tome 1

    Chronique du tome 2


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