Plus grand que le ciel

Virginie Grimaldi

PODCAST : https://youtu.be/U0j2cP8w30s

Titre en VO : Plus grand que le ciel

Année de la première publication (France) : 2024

Nombre de pages : 368

Editeur : Flammarion

Site de l’éditeur : https://editions.flammarion.com/

ISBN : 978-2-080-45070-8

Site de l’auteur : https://virginiegrimaldi.com/

Ma note : 4/10

Public conseillé : Tout le monde

Quatrième de couverture :

Elsa et Vincent se croisent chaque mercredi dans la salle d'attente de leur psychiatre.
Elle est écorchée et mordante.
Il est rêveur et intranquille.
Elle est conseillère funéraire.
Il est romancier.
Elle vient de perdre son père.
Il cache sa plus grande blessure.
Elle est en retard. Il est en avance.
Ils ont pourtant rendez-vous.
Entre deux éclats de rire, Virginie Grimaldi capte ces instants fragiles où l'empreinte des souvenirs se mêle aux promesses d'une rencontre.

Mon avis :

Contrairement à d’habitude, je n’ai pas vraiment aimé le nouveau roman de Virginie Grimaldi.

Nous découvrons deux personnages, Elsa et Vincent qui se rencontrent dans la salle d’attente de leur médecin. Ils ont chacun des blessures…

Je ne suis pas arrivé à vraiment m’attacher aux protagonistes. Elsa vient de perdre son papa et travaille dans les pompes funèbres. Elle est dévastée par ce drame et a une relation fusionnelle avec son fils.

Vincent, lui est un auteur à succès. Il est célibataire et adore ses filles. Il n’aime pas être le centre de l’attention.

Les chapitres alternent les points de vue d’Elsa et Vincent. Dans chaque chapitre, nous ressentons la fragilité des deux personnages. Le roman semble être celui où Virginie Grimaldi aborde des sujets personnels et profond comme la perte d’un être cher.

J’ai trouvé l’écriture plus « distante », même si, il y a de la sensibilité.

La fin clôt très bien le récit et donne de l’espoir.

En bref, une lecture mitigée.

Extrait :

« C'est d'une cruauté sans nom de voir s'éteindre quelqu'un qu'on aime, de pouvoir encore toucher ses mains, caresser sa peau, entendre sa voix, voir sa poitrine se soulever, sentir son souffle, recevoir son regard, de pouvoir s'en repaître, s'en gaver, en sachant que ce sera bientôt fini et que ce bientôt ne nous appartient pas. Il rejoindra le monde des souvenirs, le monde des absents. C'est d'une cruauté sans nom d'avoir rendez-vous avec la mort. De la savoir en chemin. De l'attendre. »

Les points forts : L’écriture, la fin.

Les points faibles : Les personnages auxquels je n’ai pas réussi à m’attacher.

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