• La vie rêvée des chaussettes orphelines, de Marie Vareille

    La vie rêvée des chaussettes orphelines

    Marie Vareille

     

    La vie rêvée des chaussettes orphelines, de Marie Vareille

    PODCAST : https://youtu.be/_icGRgG0rYE

     

    Titre en VO : La vie rêvée des chaussettes orphelines

    Année de la première publication (France) : 2019

    Nombre de pages : 345

    Editeur : Editions Charleston

    Site de l’éditeur : https://editionscharleston.fr/ 

    ISBN : 978-2-36812-472-7 (format kindle)

    Site de l’auteur : https://marievareille.com/ 

    Ma note : 5/10

    Public conseillé : Plutôt féminin

    Quatrième de couverture :

    Sur le papier, Alice va très bien : célibataire parfaitement assumée, elle a une carrière en or dans la finance à New-York, un loft avec vue sur Central Park et un secret si profondément enfoui qu’elle peut presque prétendre l’avoir oublié. Certes, elle ne dort plus sans somnifères, elle collectionne les crises d’angoisse, les TOC et les névroses, mais on ne va pas en faire tout un plat. Tout le monde a ses petits secrets, non ? Mais le problème avec les petits secrets, c’est qu’ils peuvent générer de grosses complications... et si Alice est devenue experte à fuir le passé, elle est beaucoup moins douée quand il s’agit d’affronter la réalité.

     

    Mon avis :

    Je dois dire que c’est à cause du titre que j’ai commencé ce roman.

     

    Alice arrive à Paris pour reprendre sa vie en main après un drame. Elle va être embauchée dans une jeune start-up dynamique. Elle va devoir cacher son secret. Va-elle y arriver ?

     

    Les personnages sont assez clichés.

    Alice est une jeune femme très angoissée qui vit dans un petit studio avec son chat, David. Elle a de nombreuses crises d’angoisses qu’elle fait passer grâce à des médicaments. Elle est américaine et se retrouve à Paris pour tourner la page.

     

    Victoire et Reda, ses deux collègues apportent de la légèreté. Reda veut vivre aux Etats-Unis mais son niveau d’anglais est catastrophique.

    Victoire, quant à elle est très franche. Elle n’a pas vraiment de filtre et peut avoir des phrases blessantes.

     

    Christophe est un des PDG de l’entreprise. Il est extraverti et déteste la médiocrité. Il croit dur comme fer à son projet d’application qui peut réunir les chaussettes orphelines (d’où le titre du roman !).

     

    Jeremy, le second PDG est plus introverti. Il a une petite fille, Zoé. On a l’impression au début du récit qu’il n’apprécie pas trop l’héroïne.

     

    Saranya, une amie d’Alice est d’origine indienne. Elle aide la jeune femme à s’intégrer à sa vie parisienne.

     

    L’écriture est simple mais efficace. Les chapitres alternent entre le présent et des passages où nous découvrons le journal d’Alice en 2012 qui nous raconte son passé difficile.

    Le livre est découpé en plusieurs parties qui sont très longues (des fois, la partie fait plus de 2h de lecture !). J’ai préféré les passages dans le présent.

     

    Les thèmes abordés – la famille, le fait de ne pas réussir à tomber enceinte depuis plusieurs années… - sont bien abordés.

     

    La fin apporte son lot de surprise mais sans plus.

     

    Par contre, j’ai trouvé des longueurs, ce qui fait que je me suis ennuyée pendant ma lecture et de plus, je trouve que l’on ne parle pas assez des chaussettes orphelines.

     

    En bref, une lecture mitigée.

     

    Extrait : (choix : au hasard)

    « Non, tu es un artiste, et tous les artistes sont des losers jusqu'au jour où ils réussissent. »

     

    On adore : Les thèmes abordés, l’écriture.

    On regrette : Les personnages, les longueurs, la fin, le fait que l’on ne parle pas assez des chaussettes.

                                                                                                       Debo


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