• Les Chroniques du Gran Paradiso

    Tome 1 : Lorenzo

    Christine Müller

     

    Les Chroniques du Gran Paradiso, tome 1, de Christine Müller

     

    PODCAST : https://youtu.be/p6faUPdDFGQ

     

    Titre en VO : Lorenzo

    Année de la première publication (France) : 2020

    Nombre de pages : 292

    Editeur : Jets d’encre

    Site de l’éditeur : https://www.jetsdencre.fr/

    ISBN : 978-2-355233-58-6

    Site de l’auteur : Pas trouvé

    Ma note : 4/10

    Public conseillé : Adultes

    Quatrième de couverture :

    Quand le soir tombe, l’Indienne emmène Tshupa, son husky, se balader en forêt. La chienne, avide de liberté et de découvertes, s’échappe toujours, avant de rejoindre sa maîtresse. Une nuit, pourtant, elle ne rentre pas. Car elle a rencontré Lorenzo, un maître loup qui l’observe depuis quelque temps déjà. Il a décidé qu’elle serait son élève et qu’il réveillerait la louve qui sommeille en elle. Une fois initiée, Tshupa pourra rejoindre la meute, secrètement installée au Gran Paradiso…

     

    Mon avis :

    Avant de commencer, je tiens à remercier les éditions Jets d’encre pour m’avoir proposé de recevoir ce roman grâce au site Simplement.

    Malheureusement, je n’ai pas accroché.

     

    Nous suivons Tshupa, une petite chienne, qui à la nuit tombée va rencontrer un loup, Lorenzo qui va lui apprendre à maîtriser son côté sauvage. Elle va raconter ses souvenirs.

     

    Je n’ai pas réussi à m’attacher aux protagonistes qui sont froids. Vous me direz, « c’est normal, ce sont des animaux et non des êtres humains ». Cela ne m’a pas permis de rentrer dans l’histoire.

     

    Tshupa est une chienne qui a davantage de traits sauvages. Elle est impétueuse et n’en fait qu’à sa tête. Elle relate ses souvenirs dans plusieurs « cahiers ».

     

    L’Indienne, la maîtresse de Tshupa est une femme qui a pris l’habitude de la promener la nuit et de ne pas s’inquiéter si elle ne revient pas.

     

    Lorenzo est un loup et le mentor de la chienne. On sent qu’il a une certaine domination sur elle.

     

    Je n’ai pas vraiment compris où l’intrigue voulait en venir à part les souvenirs du chien.

     

    L’écriture de Christine Müller est très immersive, on est plongé dans la forêt et c’est une véritable ode aux animaux, particulièrement aux loups.

     

    Comme pour l’intrigue, je n’ai pas vraiment compris la fin et ne lirai pas la suite.

     

    En résumé, une lecture mitigée.

     

    Je remercie encore une fois les éditions Jets d’encre pour leur confiance !

     

    Extrait : (choix : aucun)

     

    Les points forts : L’écriture.

    Les points faibles : Les personnages, l’intrigue, la fin.

     

    Articles précédents :

    - #PLIB2021 : La ville sans vent, tome 1, d'Eléonore Devillepoix

    - Un Noël en Californie

    - Noir d'absinthe dans catégorie "éditeurs"


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  • La ville sans vent

    Tome 1

    Éléonore Devilleppoix

     

    #PLIB2021 : La ville sans vent, tome 1, d'Eléonore Devillepoix

     

    PODCAST : https://youtu.be/JHO_uCptu4U

     

    Titre en VO : La ville sans vent

    Année de la première publication (France) : 2020

    Nombre de pages : 448

    Editeur : Hachette

    Site de l’éditeur : https://www.lecture-academy.com/

    Site internet du PLIB : https://leplib.fr/

    ISBN : #9782017108443

    Site de l’auteur : https://www.facebook.com/LaVilleSansVent/ (la page facebook)

    Ma note : 6,5/10

    Public conseillé : Adolescents à partir de 13 ans

    Quatrième de couverture :

    À dix-neuf ans, Lastyanax termine sa formation de mage et s’attend à devoir gravir un à un les échelons du pouvoir, quand le mystérieux meurtre de son mentor le propulse au plus haut niveau d’Hyperborée.
    Son chemin, semé d’embûches politiques, va croiser celui d ‘Arka, une jeune guerrière à peine arrivée en ville et dotée d’un certain talent pour se sortir de situations périlleuses. Ça tombe bien, elle a tendance à les déclencher…
    Lui recherche l’assassin de son maître, elle le père qu’elle n’a jamais connu. Lui a un avenir. Elle un passé.
    Pour déjouer les complots qui menacent la ville sans vent, ils vont devoir s’apprivoiser.

     

    Mon avis :

    Tout d’abord, j’ai lu ce livre dans le cadre du PLIB2021 qui fait partie des cinq finalistes. C’était une bonne lecture.

     

    Lastyanax est un jeune mage de 19 ans, qui, au début du récit s’apprête à présenter son invention et à devenir mage de la ville. Son mentor va mourir dans d’étranges circonstances et le jeune homme va mener sa petite enquête. Comment cela va-t-il se terminer ?

     

    Les personnages sont assez « classiques » mais attachants. Lastyanax est un jeune mage qui vient des quartiers malfamés de la ville. Il est absorbé par ses nouvelles fonctions et est autoritaire. Au début, je l’ai trouvé antipathique puis, au fil des pages, il va se montrer sous un meilleur jour.

     

    Arka est une jeune fille de 13 ans qui veut rentrer dans Hyperborée pour rencontre son père qu’elle n’a jamais connu. Elle va être, par un pur hasard propulsé dans les plus hautes sphères de la ville. Arka est très débrouillarde.

     

    Silène est professeur de mystographie – il apprend la magie aux élèves -. C’est un homme affable. Méfiez-vous des apparences !

     

    Phréton est un camarade de classe de la jeune fille. C’est le fils de l’intendant de la ville. Il est arrogant et détestable.

     

    Mézance, le père de Phréton est vil. Il est près tout pour arriver à ses fins.

     

    Le Basileus est le monarque d’Hyperborée. Il a 162 ans et immortel. L’est-il vraiment ?

     

    Les autres protagonistes ont leurs spécificités et servent à l’intrigue.

     

    L’intrigue est assez commune pour un livre de fantasy et possède des petites longueurs.

     

    L’univers mis en place est plaisant à découvrir.

     

    Le roman est découpé en plusieurs parties. Il est polyphonique, c’est-à-dire que nous suivons un certain nombre de personnages. Ici, il y en a peut-être un peu trop.

     

    La fin donne très envie de découvrir la suite et fin de cette histoire, car il s’agît d’un diptyque.

     

    En bref, une bonne lecture malgré quelques petits bémols.

     

    Extrait : (choix : au hasard)

    « La vie est si fantasque qu’on s’étonne parfois de la voir se conformer, malgré les hasards et les incertitudes, à un plan décidé des années auparavant. »

     

    Les points forts : Les personnages, l’univers, la fin.

    Les points faibles : L’intrigue un peu commune, les longueurs.

     

    Articles précédents :

    - Un Noël en Californie

    - Noir d'absinthe

    - Mechanical, d'Aurore Nox dans catégorie "romance" 

    #PLIB2021 : La ville sans vent, tome 1, d'Eléonore Devillepoix


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  • Christmas

    Tome 1 : Le maître de la lumière

    William V. Amaral

     

    Christmas, tome 1, de William V. Amaral

     

    PODCAST : https://youtu.be/5djznTcXYHs

     

    Titre en VO : Le maître de la lumière

    Année de la première publication (France) : 2020

    Nombre de pages : 300

    Editeur : Librinova

    Site de l’éditeur : https://www.librinova.com/

    ISBN : 979-10-262-6143-8

    Site de l’auteur : https://william-v-amaral.blogspot.com/?fbclid=IwAR1OLApoQYtMk8oHKWAbejAuzE4g23ulGV1fpeOuoR_xW7JiiLvUEHcMJOE

    Ma note : 8/10

    Public conseillé : Adolescents à partir de 14 ans

    Quatrième de couverture :

    Il y a bien longtemps, dans un monde peuplé par les hommes, des eaux glacées et dangereuses abritaient une grande île aux paysages enneigés. Cette terre, recouverte de vastes forêts, regorgeait de ressources qui faisaient la richesse et le bonheur de ses habitants.
    Mais un jour, nul ne sut pourquoi, un étrange brouillard s’empara de l’océan. Dès lors, tous les navires qui prirent le large disparurent sans jamais réapparaître et la grande nappe blanche ne semblait vouloir s’estomper.
    C’est ainsi qu’au fil des années, des décennies, des siècles, l’île fut isolée du reste du monde et sombra dans l’oubli, disparaissant peu à peu des cartes, des livres, et des souvenirs…

     

    Mon avis :

    Tout d’abord, je tiens à préciser que j’ai reçu ce livre pour le Prix des lecteurs Librinova 2020. Ce roman a été une bonne découverte.

    Je ne parlerai pas du résumé, car je souhaite vous laisser la surprise.

     

    Les personnages sont assez clichés. Christmas est un jeune garçon qui était à bord d’un navire. Il a de grandes capacités. Au départ, il est effrayé par ce qui lui arrive, puis, petit à petit, il va prendre de l’assurance, peut-être un peu trop. C’est un fanfaron.

     

    Egmont est un garçon qui vit dans une ferme et distribue des jouets pour les enfants. Il est gentil et a le cœur sur la main. Il peut être indécis dans certaines situations.

     

    Elyne est la princesse du royaume d’Errest Enalb. C’est la pimbêche de service. Elle est hautaine, odieuse et ne pense qu’à sa petite personne. Elle va progressivement changer de comportement.

     

    Les luths sont des petites créatures qui fabriquent les jouets. Ils sont amusants.

     

    L’intrigue est agréable et simple à suivre. On a envie de tourner les pages pour connaître la suite. De plus, les chapitres sont assez courts ce qui permet beaucoup de dynamisme au récit.

     

    L’écriture est, comme l’intrigue simple et sans grande prise de tête. Par contre, j’ai trouvé les dialogues trop « simplistes », dommage !

     

    L’univers est féerique. Cela n’est pas mentionné, mais je pense que cela se passe à la période de Noël. Il y a quelques références à la mythologie nordique.

     

    La fin donne très envie d’en connaître davantage.

     

    Merci encore à Librinova pour sa confiance !

     

    En bref, une très bonne lecture malgré quelques bémols.

     

    Extrait : (choix : aucun)

     

    Les points forts : Les personnages, l’écriture, l’intrigue, l’univers, la fin.

    Les points faibles : Les dialogues. 

     

    Articles précédents :

    - Le Triptyque : Asphyxie, de Clélia Valmont

    - Déchéance, tome 1, de Maze Perkins

    - #PLIB2021 : Qui sont les 5 finalistes ? dans catégorie "nouveautés"


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  • La Princesse au visage de nuit

    David Bry

     

    #PLIB2021 : La Princesse au visage de nuit, de David Bry

     

    PODCAST : https://youtu.be/Z5QqUKLCDg8

     

    Titre en VO : La Princesse au visage de nuit

    Année de la première publication (France) : 2020

    Nombre de pages : 280

    Editeur : L’homme sans nom

    Site de l’éditeur : http://www.editions-hsn.fr/

    Site internet du PLIB : https://leplib.fr/

    ISBN : #ISBN9782918541721 (format numérique)

    Site de l’auteur : Pas trouvé

    Ma note : 9/10

    Public conseillé : Adultes

    Quatrième de couverture :

    Dans les bois vit la princesse au visage de nuit ; ses yeux sont des étoiles et ses cheveux l’obscur.
    Hugo, enfant violenté par ses parents, s'est enfui avec ses amis dans la forêt, à la recherche de la princesse au visage de nuit, qui exaucerait les vœux des enfants malheureux... Il est ressorti du bois seul et sans souvenirs, et a été placé dans une famille d'accueil.
    Vingt ans plus tard, alors qu'il a tout fait pour oublier son enfance, Hugo apprend la mort de ses parents. Mais, de retour dans le village de son enfance, il découvre que ses parents auraient été assassinés, et d'étranges événements se produisent. La petite voiture de son enfance réapparaît comme par magie. De mystérieuses lueurs brillent dans les bois. Les orages soufflent des prénoms dans le vent.

     

    Mon avis :

    J’ai lu ce livre pour le PLIB2021, il fait partie des 26 romans sélectionnés. C’est presque un coup de cœur !

    Pour ne pas vous gâcher le suspense, je ne vous parlerai pas du résumé.

     

    Les personnages sont très attachants. Hugo est un jeune homme qui vit à Paris et qui revient dans son village natal, 20 ans après l’avoir quitté. Il a été blessé par la vie, il a de nombreuses cicatrices aussi bien physiques que morales. Il va revivre des choses difficiles et veut découvrir si la Princesse au visage de nuit existe réellement.

     

    Anne est gendarme dans ce village et est une amie d’Hugo. Elle veut retrouver le corps de sa sœur aînée, Sophie qui a disparue il y a de nombreuses années. Elle aussi, par extension est une victime de cette histoire, au même titre que le héros.

     

    Chloé, Sébastien et William, les amis d’Hugo sont sympathiques. Au départ, on ne comprend pas vraiment ce qu’ils apportent à l’intrigue puis, petit à petit, les rôles s’étoffent. Chloé est une jeune femme qui rêve du prince charmant. Elle peut sembler superficielle, mais elle a un grand cœur.

    Sébastien est le « sensible » du groupe. Toujours présent pour les autres, il a tendance à s’oublier.

    William est le blagueur. Il pense détendre l’atmosphère, mais en fait, pas du tout.

     

    L’intrigue est palpitante, on a envie de tourner les pages à toute vitesse pour connaître le fin mot de l’histoire. Le livre est découpé en plusieurs parties et il y a des flash-back, où l’histoire se passe 20 ans auparavant.

     

    L’univers est très sombre, mystique voir onirique. La Princesse au visage de nuit existe-t-elle ou est-ce une légende ?

     

    L’écriture est très immersive, on se sent tout de suite dans ce village et cette mystérieuse forêt.

     

    La fin est magnifique !

     

    En bref, une très bonne lecture, mais il m’a manqué un petit quelque-chose.

     

    Extrait : (choix : qui met dans l’ambiance)

    « - De l'orage de prévu ? s'étonne le curé.
    Bernadette frissonne. Élisabeth Pirier resserre son châle sur ses épaules. Les employés des pompes funèbres fouillent le ciel d'été à la recherche de nuages invisibles.
    - C'est la princesse au visage de nuit, annonce la vieille Lisienne. Elle s'est réveillée. »

     

    Les points forts : Les personnages, l’univers, l’intrigue, l’écriture, la fin.

    Les points faibles : Un petit quelque-chose sans savoir quoi.

     

    Articles précédents :

    - Michèle Beck répond à mes questions

    - Bilan lectures - Février 2021

    - Sorties littéraires - Mars 2021 dans catégorie "nouveautés"

    #PLIB2021 : La Princesse au visage de nuit, de David Bry


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  • Chrysalide

    Chapitre 1 : La Fleur de Lune

    Aurélie Baudoux

     

    Chrysalide, chapitre 1, d'Aurélie Baudoux

    PODCAST : https://youtu.be/RvujaYN01KM

     

    Titre en VO : La Fleur de Lune

    Année de la première publication (France) : 2020

    Nombre de pages : 255

    Editeur : Librinova

    Site de l’éditeur : https://www.librinova.com/

    ISBN : 979-10-262-6342-5 (format numérique)

    Site de l’auteur : https://www.librinova.com/auteur/aurelie-baudoux (sa page auteur)

    Ma note : 7/10

    Public conseillé : Adolescents à partir de 15 ans

    Quatrième de couverture :

    Le prince Ylias Théouly, benjamin de la famille royale de la Terre du Minérya, possède une particularité qui lui vaut admiration des uns, jalousie des autres : la puissance inégalée de ses pouvoirs magiques. Ce don lui promet gloire et renommée à travers les âges. Mais, porté par le désir de liberté et son amour interdit pour Delfy, servante au château, il lui est difficile de se plier à ses devoirs de prince. Or à la veille de ses seize ans, un événement inquiétant le propulse dans la dureté de l’âge adulte et lui rappelle les responsabilités liées à son rang. Tyr Mortyma, ennemi juré du royaume, soulève une armée pour récupérer quelques gouttes de sang du jeune Ylias.
    Pourquoi son sang ? Cette question ne quitte plus l’esprit du prince. Pour y répondre, la légende « Fleur de Lune » reprend vie au risque de révéler les secrets les plus noirs de la famille Théouly. Tandis que le monde sombre dans les ténèbres de la guerre, Ylias fait face à sa destinée…

     

    Mon avis :

    J’avais reçu ce livre dans le cadre du Prix des lecteurs Librinova 2020. Je remercie la maison d’édition pour sa confiance !

    Le résumé étant long, je n’en parlerai pas davantage.

     

    Les personnages sont attachants. Nous suivons la famille royale Théouly qui est la famille régnante de l’Empire du Minérya. Le roi a trois héritiers, Dorian, Alix et Ylias. Chacun a des caractères bien différents. Dorian, l’aîné est l’héritier par excellence. Dévoué à sa famille et à ses responsabilités, il n’hésite pas à se mettre en danger.

     

    Alix, le cadet est un peu à part. Il aime la gloire, la victoire et veut exister aux yeux de son père. Il peut être jaloux de ses frères.

     

    Ylias, le benjamin est celui sur lequel on s’attarde le plus dans l’intrigue. Il est apprécié de tous et peut faire de grandes choses. Je me suis attaché à lui.

     

    La famille Mortyma est l’ennemie de la famille Théouly. Ses membres sont assoiffés de vengeance, surtout Tyr, le fils aîné du souverain. C’est l’antagoniste parfait.

     

    Les autres protagonistes apportent du soutien aux personnages principaux notamment Isaac, l’ami d’Ylias qui est un chevalier.

     

    L’intrigue est une quête initiatique où les personnages doivent mieux se connaître et apprivoiser leurs pouvoirs. Elle est sombre et peut faire froid dans le dos. Les scènes de bataille sont assez prenantes.

     

    L’écriture est simple et agréable.

     

    La fin donne très envie de connaître la suite !

     

    Par contre, j’ai trouvé des longueurs qui peuvent alourdir le récit.

     

    En bref, une assez bonne lecture.

     

    Extrait : (choix : aucun)

     

    Les points forts : Les personnages, l’écriture, l’univers, l’intrigue, la quête initiatique, la fin.

    Les points faibles : Les petites longueurs. 

     

    Articles précédents :

    - George Lerouge répond à mes questions

    - Le prix des étoiles Librinova : les résultats

    - Bureau fédéral de la magie, tome 1, d'Annabel Chase dans catégorie "bit-lit"


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