•  Quand l’amour s’en mail

    Tamara Balliana 

     

    Quand l'amour s'en mail, de Tamara Balliana

     

     

    Titre en VO : Quand l’amour s’en mail

    Année de la première publication (France) : 2019

    Nombre de pages : 303

    Editeur : Montlake, collection Romance

    Site de l’éditeur : Pas trouvé

    ISBN : 978-2-9198-0619-5 (format kindle) 

    Site de l’auteur : https://tamaraballiana.com/ 

    Ma note : 7/10

    Public conseillé : Féminin

    Quatrième de couverture :

    Quand sa meilleure amie lui demande d’être son témoin de mariage, Solène est aux anges et décide de lui organiser un enterrement de vie de jeune fille dont elle se souviendra ! Pour cela, elle écrit à Léonie, surnommée « Léo », la sœur de la future mariée… Mais à cause d’une erreur de destinataire, c’est Léo, architecte parisien et homonyme de Léonie, qui lui répond !
    Débute alors une correspondance qui devient de plus en plus personnelle à mesure que les jeunes gens se découvrent l’un l’autre. Mais quand Léo propose à Solène de se rencontrer enfin, elle refuse catégoriquement. Bien décidé à connaître le visage de sa mystérieuse amie virtuelle, Léo s’obstine… Solène lui cacherait-elle quelque chose ? La complicité qu’ils ont développée derrière leurs écrans résistera-t-elle à l’épreuve du réel ?

     

    Mon avis :

    J’ai trouvé ce roman un peu par hasard et je dois dire que cela a été une bonne lecture.

    Je trouve que le résumé en dit un peu trop, pas besoin d’en dire davantage.

     

    Les personnages sont attachants quoiqu’un peu clichés.

    Solène a 24 ans et vit dans un petit village du sud de la France. Elle a un frère jumeau, Jules qui est toujours là pour elle dans les moments difficiles. Elle a un fort caractère et ne se laisse pas faire. Solène cache un élément de son passé qu’elle ne souhaite pas voir dévoiler.

     

    Jules, le frère jumeau de Solène a été dans sa jeunesse un rebelle. Il travaille avec ses parents dans le bar familial et souhaite développer une activité de restauration dans celui-ci, ce que son père refuse. Il est toujours présent pour sa sœur.

     

    Laetitia, la meilleure amie de l’héroïne s’apprête à se marier et souhaite que son amie et témoin lui organise son enterrement de vie de jeune fille. Elle est très protectrice envers Solène et arrive très bien à détendre l’atmosphère.

     

    Léo a 27 ans et travaille en tant qu’architecte dans le cabinet de son père. Lui aussi a un secret qu’il aimerait oublier. Solène et lui vont se rencontrer virtuellement par l’envoi de mails – je ne vous gâche pas le suspense c’est écrit dans la quatrième de couverture -. Léo aime aider les autres, voir peut-être un peu trop.

     

    Les personnages dits « secondaires » apportent une touche de légèreté au récit.

     

    L’écriture est simple mais efficace et pleine de fraîcheur. Les chapitres alternent entre le point de vue de Solène et celui de Léo, ce qui apporte une dynamique à l’histoire.

     

    Les thèmes abordés – l’amitié, l’amour ou le handicap – sont bien abordés.

     

    La romance, car oui, il y en a une arrive, pour moi, un peu tardivement dans l’intrigue c’est-à-dire à peu près à 80% du livre ce qui est dommage.

     

    La fin est jolie mais assez attendue.

     

    J’ai trouvé qu’il y avait quelques petites longueurs à certains moments.

     

    En bref, une bonne lecture qui se lit très bien en été !

     

    Extrait : (choix : la vie est une autoroute)

    « - Dans ma tête, la vie, c’est comme une multitude de routes. Tu as l’autoroute, celle qui va exactement où tu voulais aller. Parfois, tu es obligé de la quitter pour emprunter un itinéraire secondaire, ou tu choisis de le faire volontairement. Et tu peux avoir de belles surprises. Même si le chemin est un peu plus long, tu peux rejoindre ta destination initiale, tu prends du plaisir à faire ce détour. Tu peux même te retrouver à un endroit où tu n’avais pas prévu d’aller, mais peu importe si au final l’endroit est brai, tu ne crois pas ?

     

    On adore : Les personnages, l’écriture, l’alternance des points de vue, les thèmes traités, la fin.

    On regrette : Les petites longueurs, la romance qui arrive tardivement.

                                                                                                       Debo


    3 commentaires
  • La vie rêvée des chaussettes orphelines

    Marie Vareille

     

    La vie rêvée des chaussettes orphelines, de Marie Vareille

    PODCAST : https://youtu.be/_icGRgG0rYE

     

    Titre en VO : La vie rêvée des chaussettes orphelines

    Année de la première publication (France) : 2019

    Nombre de pages : 345

    Editeur : Editions Charleston

    Site de l’éditeur : https://editionscharleston.fr/ 

    ISBN : 978-2-36812-472-7 (format kindle)

    Site de l’auteur : https://marievareille.com/ 

    Ma note : 5/10

    Public conseillé : Plutôt féminin

    Quatrième de couverture :

    Sur le papier, Alice va très bien : célibataire parfaitement assumée, elle a une carrière en or dans la finance à New-York, un loft avec vue sur Central Park et un secret si profondément enfoui qu’elle peut presque prétendre l’avoir oublié. Certes, elle ne dort plus sans somnifères, elle collectionne les crises d’angoisse, les TOC et les névroses, mais on ne va pas en faire tout un plat. Tout le monde a ses petits secrets, non ? Mais le problème avec les petits secrets, c’est qu’ils peuvent générer de grosses complications... et si Alice est devenue experte à fuir le passé, elle est beaucoup moins douée quand il s’agit d’affronter la réalité.

     

    Mon avis :

    Je dois dire que c’est à cause du titre que j’ai commencé ce roman.

     

    Alice arrive à Paris pour reprendre sa vie en main après un drame. Elle va être embauchée dans une jeune start-up dynamique. Elle va devoir cacher son secret. Va-elle y arriver ?

     

    Les personnages sont assez clichés.

    Alice est une jeune femme très angoissée qui vit dans un petit studio avec son chat, David. Elle a de nombreuses crises d’angoisses qu’elle fait passer grâce à des médicaments. Elle est américaine et se retrouve à Paris pour tourner la page.

     

    Victoire et Reda, ses deux collègues apportent de la légèreté. Reda veut vivre aux Etats-Unis mais son niveau d’anglais est catastrophique.

    Victoire, quant à elle est très franche. Elle n’a pas vraiment de filtre et peut avoir des phrases blessantes.

     

    Christophe est un des PDG de l’entreprise. Il est extraverti et déteste la médiocrité. Il croit dur comme fer à son projet d’application qui peut réunir les chaussettes orphelines (d’où le titre du roman !).

     

    Jeremy, le second PDG est plus introverti. Il a une petite fille, Zoé. On a l’impression au début du récit qu’il n’apprécie pas trop l’héroïne.

     

    Saranya, une amie d’Alice est d’origine indienne. Elle aide la jeune femme à s’intégrer à sa vie parisienne.

     

    L’écriture est simple mais efficace. Les chapitres alternent entre le présent et des passages où nous découvrons le journal d’Alice en 2012 qui nous raconte son passé difficile.

    Le livre est découpé en plusieurs parties qui sont très longues (des fois, la partie fait plus de 2h de lecture !). J’ai préféré les passages dans le présent.

     

    Les thèmes abordés – la famille, le fait de ne pas réussir à tomber enceinte depuis plusieurs années… - sont bien abordés.

     

    La fin apporte son lot de surprise mais sans plus.

     

    Par contre, j’ai trouvé des longueurs, ce qui fait que je me suis ennuyée pendant ma lecture et de plus, je trouve que l’on ne parle pas assez des chaussettes orphelines.

     

    En bref, une lecture mitigée.

     

    Extrait : (choix : au hasard)

    « Non, tu es un artiste, et tous les artistes sont des losers jusqu'au jour où ils réussissent. »

     

    On adore : Les thèmes abordés, l’écriture.

    On regrette : Les personnages, les longueurs, la fin, le fait que l’on ne parle pas assez des chaussettes.

                                                                                                       Debo


    votre commentaire
  • The Good Place

    Saison 2

     

    The Good Place, saison 2 

     

     

    Réalisateur : Michael Schur

    Acteurs principaux :

    *Kristen Bell, dans le rôle d’Eleanor

    *Ted Danson, dans le rôle de Michael

    *Jameela Jamil, dans le rôle de Tahani

    *William Jackson Harper, dans le rôle de Chidi

    *Manny Jacinto, dans le rôle Jianyu Li/Jason

    *D’Arcy Carden, dans le rôle de Janet (une femme-robot qui sait tout)

    *Marc Evan Jackson, dans le rôle de Shawn (le patron de Michael)

    Bande annonce : https://www.youtube.com/watch?v=eMMJoOBlevs 

    Durée d’un épisode : 20 minutes

    Nombre d’épisode : 13

    Ma note : 5/10

    Résumé :

    A sa mort, Eleanor Shellstrop se retrouve au bon Endroit, là où seules les personnes exceptionnelles aux âmes pures arrivent, les autres étant envoyées au Mauvais Endroit. Chaque nouvel arrivant est logé dans une maison idéale, aménagée selon les goûts de l’arrivant, puis fait connaissance avec son âme sœur. Problème, Eleanor n’est pas vraiment une bonne personne et découvre qu’elle a été envoyée au Bon Endroit par erreur. Depuis son arrivée, des choses étranges arrivent au Bon Endroit.

     

    Mon avis :

    Déjà que la première saison n’était pas top, la suite n’a pas relevé le niveau.

     

    Le jeu des acteurs est à peu près potable. Ils sont stéréotypés.

    Eleanor est assez égoïste même si au fil des épisodes elle va modifier son comportement et devenir meilleure.

     

    Chidi est toujours aussi indécis. Il ne parle que de morale et d’éthique. Il s’affirme quand même un petit peu.

     

    Les autres personnages principaux – Tahani, Jason, Janet et Michael – sont comme dans la première saison.

     

    L’intrigue tourne en rond, il se passe un peu les mêmes actions, ce qui est dommage !

     

    Les épisodes sont courts, ce qui fait que l’on peut les enchaîner.

     

    L’univers est par contre intéressant, on en apprend plus sur comment il a été créer.

     

    La fin est moyenne.

     

    En bref, une suite de série très moyenne.

     

    Je suis désolé si cette chronique est courte mais je n’en ai pas grand-chose à dire.

     

    On adore : L’univers, les courts épisodes.

    On regrette : Le jeu des acteurs, l’intrigue, la fin.

                                                                                                       Debo


    votre commentaire
  • Suits : avocats sur mesure

    Saison 4

     

    Suits : avocats sur mesure, saison 4

      

     

    Réalisateur : Aaron Korsh

    Acteurs principaux :

    *Patrick J. Adams, dans le rôle de Mike Ross

    *Meghan Markle, dans le rôle de Rachel Zane (assistante juridique et future avocate)

    *Gabriel Macht, dans le rôle d’Harvey Specter (supérieur de Mike et associé de Jessica)

    *Rick Hoffman, dans le rôle de Louis Litt (rival d’Harvey)

    *Sarah Rafferty, dans le rôle de Donna (secrétaire d’Harvey)

    *Gina Torres, dans le rôle de Jessica Pearson (responsable du cabinet où travaille Mike)

    *D.B. Woodside, dans le rôle de Jeff Malone (financier travaillant au cabinet)

    *Brandon Firla, dans le rôle de Jonathan Sidwell (nouvel employeur de Mike)

    *Brendan Hines, dans le rôle de Logan Sanders (rival de Mike)

    Bande annonce : https://www.youtube.com/watch?v=NCaYiGQzigo (en anglais)

    Durée d’un épisode : 42 minutes

    Nombre d’épisode : 16

    Ma note : 9,5/10

    Résumé :

    Mike travaille maintenant en tant que financier dans le cabinet d’investissement de Jonathan Sidwell. Harvey et lui sont donc adversaires pour certaines affaires, ce qui crée de la tension entre eux.

    Harvey doit défendre un client qui ne plaît pas du tout à Mike et qui va déstabiliser Rachel. Comment cela va-il se terminer ? (résumé personnel)

    Mon avis :

    Comme vous pouvez le constater, ma note n’a pas changé par rapport à la saison 3. J’ai tout de suite aimée cette suite !

     

    Les acteurs jouent très bien.

    Mike est maintenant financier. Il est seul aux commandes de ses affaires. Il va y avoir une grande tension entre lui et Harvey qui va mettre l’amitié entre les deux hommes à rude épreuve.

     

    Rachel fait ses études de droit tout en continuant à travailler pour le cabinet. Elle va se retrouver dans une situation personnelle des plus délicate. Il va falloir qu’elle se batte pour gagner sa légitimité.

     

    Louis Litt, le rival d’Harvey est de plus en plus tyrannique, surtout au milieu de la saison. Il veut être associé tout comme Harvey et est prêt à employer les grands moyens, même les moins loyaux.

     

    Harvey est un peu perdu depuis le départ de Mike. Il va très vite remonter la pente et va tout faire pour mener la vie dure à son « poulain » pour lui démonter qu’il fait fausse route.

     

    Les autres personnages ont aussi leur lot de surprise.

     

    L’intrigue est intéressante. Contrairement aux saisons précédentes où les épisodes étaient plus ou moins indépendants, ici, il y un fil rouge sur plusieurs d’entre eux ce qui est appréciable.

     

    On sent que le cabinet doit aussi gérer ses problèmes du quotidien – les petites querelles, les déboires amoureux… -.

     

    La fin donne très envie de connaître la suite, surtout vis-à-vis de Mike mais aussi de la relation Harvey/Donna.

     

    En bref, je vous recommande à 100% cette série !

     

    On adore : Tout.

    On regrette : Je cherche encore.

                                                                                                       Debo


    votre commentaire
  • La chambre des merveilles

    Julien Sandrel

     

    La chambre des merveilles, de Julien Sandrel

    PODCASThttps://www.youtube.com/watch?v=pO0KtgbH4Js

     

    Titre en VO : La chambre des merveilles

    Année de la première publication (France) : 2018

    Nombre de pages : 272

    Editeur : Editions Calman-Lévy

    Site de l’éditeur : https://calmann-levy.fr/ 

    ISBN : 979-10-912-1182-6 (format kindle)

    Site de l’auteur : https://www.facebook.com/juliensandrel/ -page facebook de l’auteur)

    Ma note : 10/10

    Public conseillé : Tout public

    Quatrième de couverture :

    Louis a 12 ans. Ce matin, alors qu’il veut confier à sa mère, Thelma, qu’il est amoureux pour la première fois, il voit bien qu’elle pense à autre chose, à son travail sûrement. Alors il part, fâché et déçu, avec son skate, et traverse la rue à fond. Un camion le percute de plein fouet.
    Le pronostic est sombre. Dans quatre semaines, s’il n’y a pas d’amélioration, il faudra débrancher le respirateur de Louis. En rentrant de l’hôpital, désespérée, Thelma trouve un carnet sous le matelas de son fils. À l’intérieur, il a dressé la liste de toutes ses « merveilles », c’est-à-dire les expériences qu’il aimerait vivre au cours de sa vie.
    Thelma prend une décision : page après page, ces merveilles, elle va les accomplir à sa place. Si Louis entend ses aventures, il verra combien la vie est belle. Peut–être que ça l’aidera à revenir. Et si dans quatre semaines Louis doit mourir, à travers elle il aura vécu la vie dont il rêvait.
    Mais il n’est pas si facile de vivre les rêves d’un ado, quand on a presque quarante ans…
     

     

    Mon avis :

    C’est un véritable coup de cœur !

    Le résumé étant très long, pas la peine d’en rajouter.

     

    Les personnages sont magnifiques.

    Thelma est une mère de famille working-girl qui travaille pour un grand groupe de cosmétiques. Elle ne pense qu’à sa carrière jusqu’au jour du drame. A partir de ce moment tragique, elle va révéler sa véritable nature, fragile et douce.

     

    Louis a 12 ans presque treize. Il est précoce et est en troisième. Il s’accommode tant bien que mal du métier de sa mère. Il écrit dans un carnet des merveilles ce qu’il souhaite faire avant de mourir.

     

    Odette, la mère de Thelma et grand-mère de Louis est une geek. Elle vit avec son temps. Sa relation avec sa fille est assez compliquée mais au fil du récit, celle-ci va s’améliorer.

     

    Charlotte, une des infirmières du service où est hospitalisé le jeune garçon est très empathique. Elle apprécie véritablement son patient.

     

    L’écriture est simple, efficace et très belle. Les chapitres entre Thelma et ceux de son fils qui nous raconte comment il vit sa période de coma. On lit les chapitres à folle allure !

     

    Les thèmes abordés – la famille, la vie, l'amour maternel… - sont très bien exploités.

     

    La fin est très jolie et montre qu’il est important d’avoir toujours de l’espoir.

     

    La couverture est colorée et donne envie de s’attarder sur ce roman.

     

    Je vous recommande à 100% ce livre !

     

    Extrait : (choix : donner envie de vivre)

    « Je devais donner envie à mon fils de revenir, le faire saliver en lui montrant tout ce qu’il était en train de manquer en restant dans le coma. Lui donner envie de vivre. C’était un projet fou, mais réalisable. J’en était convaincue. Les protagonistes ? Un sportif : Louis. Un coach : moi. La discipline olympique ? La sortie du coma en nage libre. La carotte, la motivation ? Tout ce qui était noté dans le carnet. Ce carnet était un concentré de futur. Ce carnet était rempli d’expériences que Louis rêvait de vivre, de promesses de joie, de « trucs cool » comme il l’écrivait lui-même. Ce carnet était une promesse de vie. »

     

    On adore : Tour !

    On regrette : Rien.

                                                                                                       Debo


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires