• Campus

    Tome 1 : Bienvenue à Easton

    Kate Brian

     

    Campus tome 1, de Kate Brian

    Titre en VO : Private

    Année de la première publication (France) : 2008

    Nombre de pages : 323

    Editeur : Bayard jeunesse

    Site de l’éditeur http://www.bayard-editions.com/ 

    ISBN : 978-2-7470-2181-4 (grand format)

    Site de l’auteur : pas trouvé

    Ma note : 6/10

    Publique conseillé : Public féminin à partir de 14 ans.

    Quatrième de couverture :

    A quinze ans, Reed Brennan fait sa rentrée en classe de seconde à la prestigieuse académie d’Easton ; le meilleur moyen d’échapper à un quotidien sinistre et une mère accro aux médicaments.

    Un nouvel univers s’offre à elle, différent de ce qu’elle avait imaginé : sur le superbe campus, tout n’est que luxe et raffinement. Reed la boursière se sent exclue. Jusqu’au jour où elle rencontre les filles Billings.

    Elles sont belles, intelligentes, sûres d’elles. Elles sont toutes-puissantes, dans ce monde où le pouvoir est éphémère, mais indispensable. Reed va essayer par tous les moyens, même les plus vils, de faire partie de ce clan.

    Elle découvre rapidement que les Billings, derrière leurs poses affectées et leurs garde-robes de magazine, ont bien des choses à cacher.

     

    Mon avis :

     

    Ce livre jeunesse  à une trame classique. Une adolescente qui rentre dans un nouveau lycée huppé et qui essaye de s’intégrer. Reed est une jeune fille banale qui a des problèmes familiaux : sa mère est alcoolique. Elle va tenter de se faire à son nouveau lycée et avoir les filles Billings comme amies – les filles les plus influentes du lycée -. Ce qu’elle essaye de faire ne risque-il pas de lui coûter sa place ?

     

    Les personnages sont clichés mais je le savais déjà. Reed m’a touchée au début par sa fragilité mais au fil de la lecture elle m’a agacée car elle prend les mauvaises décisions. Elle adore le foot. Constance, la camarade de chambre de Reed est drôle, gentille. Noëlle est la chef du clan Billings. Elle est autoritaire et manipulatrice. Quand elle dit quelque chose, tout le monde « s’écrase devant elle ». Ariana est « la plus gentille » du groupe. Elle est souvent dans son monde. Taylor, l’intello, est celle qui apprécie le plus Reed. Elle est bosseuse. Kiran, la pimbêche, adore les vêtements de luxe et ne s’en cache pas. Thomas, le premier garçon que l’héroïne rencontre à son arrivée est comme on pourrait s’y attendre, beau et charmeur.

     

    Le style n’est pas très recherché mais il passe bien. Les chapitres sont courts ce qui permet au livre d’avancer vite. Il ne se passe pas grand-chose dans ce premier tome, il est assez introductif.

     

    La fin donne envie d’en savoir plus car il s’est passé un événement étrange.

    Je vais m’arrêter ici car je ne sais pas trop quoi dire d’autre.

     

    Extrait : (choix : au hasard)

    « J'avais les paumes moites et un léger vertige. Tout mon corps palpitait.
    - Est-ce que je te rends nerveuse ? demanda-t-il.
    Je secouai la tête.
    Il se recula, me regarda dans les yeux et sourit :
    - Menteuse.
    Et il m'embrassa. »

     

    On adore : Le style, l’histoire, les personnages, la fin.

    On regrette : L’héroïne.


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  • Love Letters to the Dead

    Ava Dellaira 

    Love Letters to the Dead, Ava Dellaira

     

     

    Titre en VO : Love Letters to the Dead

    Année de la première publication (France) : 2014

    Nombre de pages : 319

    Editeur : Michel Lafon

    Site de l’éditeur : http://www.michel-lafon.fr/ 

    ISBN : 978-2-7499-2356-7 (format kindle)

    Site de l’auteur : http://avadellaira.com/ 

    Ma note : 6/10

    Publique conseillé : Filles et garçons à partir de 15 et plus.

    Quatrième de couverture :

    Au commencement, c'était un simple devoir. Ecrire une lettre à un mort. Laurel a choisi Kurt Cobain, parce que sa grande soeur May l'adorait. Et qu'il est mort jeune, comme May. Très vite, le carnet de Laurel se remplit de lettres où elle dresse son propre portrait de lycéenne, celui de ses nouveaux amis, de son premier amour... Mais pour faire son deuil, Laurel devra se confronter au secret qui la tourmente, et faire face à ce qui s'est réellement passé, la nuit où May est décédée. Love Letters to the Dead est une lettre d'amour à la vie 

     

    Mon avis :

    C’est un roman épistolaire très touchant. Laurel va rentrer en seconde au lycée et a perdu sa sœur, May, six mois plus tôt. Un jour, son professeur d’anglais demande à la classe d’écrire une lettre à une personne décédée. A partir de ce jour, Laurel va entreprendre des conversations avec d’autres personnes  qui vont la faire grandir.

     

    Les personnages sont sympas quoique avec des clichés. Laurel est une fille touchante qui a du mal à se remettre de la mort de sa sœur mais qui évolue au fil de l’histoire. Hannah, une amie, est extravagante et cherche à se faire remarquer (dans le bon sens) pour ne pas montrer ses blessures. Nathalie, une autre amie, est calme, posée et aime beaucoup Hannah. Sky, est gentil, attentionné, il ne veut que le bien de Laurel. Amy, la tante, qui s’occupe de Laurel une semaine sur deux (les parents de la jeune fille sont séparés et sa mère vit en Californie) est une femme très croyante avec des principes mais qui adore sa nièce. Le père adore le base-ball, il est un peu « éteint » depuis la mort de sa fille aînée (quoi de plus normal) mais essaie de reprendre goût à la vie.

     

    Dans les lettres qu’elle écrit aux personnes décédées, Laurel parle du lycée mais surtout de May à qui elle pense souvent. Chaque lieu, chaque  moment lui rappelle une histoire avec sa sœur. Il y a beaucoup de références à la musique (albums, chansons…)

    Le style est agréable, l’auteur aborde des sujets importants dans la vie des lycéens (l’alcool, la sexualité, les fêtes…)

    Malgré tout, j’ai comme même eu du mal à m’attacher à l’héroïne qui est pourtant touchante.

    La fin est très belle.

     

    Je recommande quand même ce livre qui montre très bien la période difficile du deuil d’un proche mais qu’il faut savoir se relever.

     

    Extrait : (choix : très beau passage plein de réflexion)

    « Et peut-être que grandir, c'est comprendre qu'on peut être autre chose qu'un personnage qui va là où l'histoire le pousse. C'est comprendre que cette histoire, on peut aussi en être l'auteur. »

     

    On adore : Les personnages, la réflexion sur le deuil et d’autres sujets abordés au lycée, le style d’écriture.

    On regrette : Le fait de n’avoir pas réussie à m’attacher à l’héroïne.

     

     


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  • Les chansons du séraphin,

    Tome 1 : L’Heure de l’ange

    Anne Rice

     

     

     

    Titre en VO : The songs of the Seraphim

    Année de la première publication (en France) : 2010

    Nombre de pages : 270

    Editeur : Michel Lafon

    Site de l’éditeur : http://www.michel-lafon.fr/ 

    ISBN : 978-2-298-03149-2 (grand format)

    Site de l’auteur : http://annerice.com/ 

    Ma note : 5/10

    Publique conseillé : Ce qui aime les longue descriptions ! (Pas pour moi en somme…)

    Quatrième de couverture :

    Lucky, Toby ou encore Tommy… son nom importe peu. L’important, c’est sa discrétion, son professionnalisme, sa compétence à exécuter froidement les cibles qu’on lui désigne. Après un contrat particulièrement éprouvant, Lucky est abordé par un mystérieux inconnu, un certain Malchiah. Ce Malchiah sait tout de lui, dispose de pouvoirs stupéfiants, et prétend être son ange gardien. Il lui offre de racheter ses crimes en sauvant des vies plutôt que de les prendre, et d’aider une famille juive au Moyen Âge accusée de meurtres rituels.
    Est-ce un ange, un rêve ou un cauchemar ?
     

     

    Mon avis :

    Mm… Comment dire ? Et bien, disons que c’est… TRES TRES LONG à démarrer.

    C’est l’histoire de Toby qui rencontre un ange et est investi d’une mission selon le résumé. C’est vrai… Sur les 100 dernières pages (si je suis gentille, je n’ai pas compté, et je n’irais pas !).

     

    Je n’apprécie pas Toby, il ne m’est pas du tout empathique. Juste un tueur de sang froid. Et même quand on nous raconte son histoire (ce qui prend 60 pages, facile) je ne l’apprécie pas. Certes je le comprends mieux, mais je ne l’apprécie pas du tout.

    Les autres personnages sont tous plutôt secondaire, puisqu’il ne passe pas beaucoup de temps dans le roman, et je ne prendrais pas la peine de parler d’eux.

     

    Le style est très descriptif, et on s’ennuie pendant 100 pages sur la vie actuelle du personnage en description de lieux et de mode de vie avec la narration d’un meurtre à la fin. Il rencontre l’ange (comme dit dans le résumé), ne veut pas y croire, blablabla… On pense entrer dans l’histoire ? Pas du tout ! Pour obtenir la confiance de Toby, l’ange va lui montrer son histoire. Et c’est parti pour un chapitre de 60 pages presque (pour ne pas dire totalement) inutiles. Heureusement, déjà plus intéressante que la partie précédente. Et enfin commence l’histoire, la vraie, la mission… Sur 100 pages ! On espère quelque chose de trépidant, qui nous mène par le rythme et le suspens, tout ça… Si ça relève un peu le niveau, c’est une version très décolorée de ce que je viens de dire. La mission s’achève, il revient en son temps, et on n’a pas eu de suspens (ou si peu que ça ne vaut même pas la peine d’être précisé), l’histoire laisse un goût fade. On arrive sur une chute qui est un peu mieux que le reste, mais ça reste très basique, trop pour relever le niveau du livre.

    Vous vous êtes ennuyé sur ce dernier paragraphe ? Si c’est le cas, ce livre est encore moins pour vous que pour moi ! Je ne le recommande pas, et je ne pense pas que je lirai la suite. Ou peut-être sur un malentendu ou par énorme ennuie, (mais j’ai d’autres livres plus intéressants à lire avant de m’ennuyer pour preuve le nombre faramineux dans chronique à publier !).

     

    Il faut quand même rendre un fait positif c’est les recherches qu’a fait l’auteur. Très pointue ! Elle s’est très bien documentée sur la vie des juifs au Moyen-âge.

     

    Extrait : (choix : trouver sur le net, même pas envie d’ouvrir le livre pour en choisir un ! Ennuyez vous bien !)

    « Je ne manquais jamais de m’aventurer dans le restaurant pour déjeuner. La piazza était magnifique, avec ses hauts murs percés de fenêtres arrondies et de terrasses semi-circulaires ; je sortais le New York Times, que je lisais tout en déjeunant à l’ombre de dizaines de parasols rouges.
    Mais l’intérieur du restaurant n’était pas moins attirant, avec ses murs recouverts de carreaux de faïence bleu vif et ses arches beiges artistement peintes de plantes grimpantes. Le plafond à solives figurait un ciel bleu avec des nuages et même de minuscules oiseaux. Les portes de plein cintre à meneaux étaient couvertes de miroirs, tandis que d’autres laissaient passer le soleil venant de la piazza. Le bavardage des gens rappelait le murmure d’une fontaine.
    Je me promenais, dans les couloirs sombres, sur des tapis poussiéreux, de styles différents. Je m’arrêtais dans l’atrium devant la chapelle Saint-François, contemplant l’embrasure lourdement sculptée, chef-d’œuvre en ciment moulé de style churrigueresque. Cela me réchauffait le cœur d’entrevoir les préparatifs de mariages, inévitablement luxueux et apparemment interminables, avec leurs buffets dressés dans de l’argenterie sur des tables drapées de nappes autour desquelles s’affairait le personnel.
    Je montais jusqu’à la plus haute véranda et, appuyé sur la balustrade en fer laquée de vert, baissais les yeux vers la piazza du restaurant et l’énorme horloge située en face. J’attendais souvent son carillon, qui sonnait tous les quarts d’heure. Je voulais voir ses gros chiffres bouger lentement.
    Un élément très puissant m’attire vers l’horlogerie. Quand je tuais quelqu’un, j’arrêtais sa montre. Et que font les horloges, les pendules, les montres, sinon mesurer le temps dont nous disposons pour devenir quelqu’un, découvrir en nous quelque chose dont nous ignorions la présence ? »
     

     

    On adore : Les recherches.

    On regrette : L’extrême longueur, le goût fade que ça laisse, le mande d’empathie fasse au personnage qui me laisse totalement indifférente.


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  • Léna et la vraie vie

    Yaël Hassan

     

     

    Titre en VO : Léna et la vraie vie

    Année de la première publication (en France) : 2007

    Nombre de pages : 109

    Editeur : Seuil

    Site de l’éditeur : http://www.seuil.com/ 

    ISBN : 978-2-02-096393-0 (format poche)

    Site de l’auteur : http://minisites-charte.fr/sites/yael-hassan/   

    Ma note : 6,5/10

    Publique conseillé : à partir de 11 ans, plutôt pour ces demoiselles

    Quatrième de couverture :

    Délaissée par ses parents qui ne pensent qu’à leurs activités mondaines et professionnelles, Léna s’inscrit dans un pensionnat pour y découvrir la vraie vie. Elle tient son journal, à qui elle va confier ses joies, ses peines, ses doutes. Car la vraie vie ne lui réserve pas que des bonnes surprises : elle doit partager sa chambre avec Marine qui, sous des abords charmants et charmeurs, se révèle être une véritable peste. Mais l’amour et l’amitié son également au rendez-vous. Léna, portée par sa passion du théâtre, se construit peu à peu une nouvelle personnalité qui lui permettra de voir autrement le monde qui l’entoure.

     

    Mon avis :

    On a ici quelque chose de court, et de simple, sans prétention.

    Léna est délaissée par ses parents et elle va en internat. La première personne qu’elle rencontre est Marine, sa compagne de chambre. Qui l’embobine.

     

    Léna, elle était solitaire, elle en est très naïve, très crédule. Une fan de lecture et de théâtre, tout particulièrement Antigone. Je me suis sentis proche d’elle, je lui ressemble un peu (j’aime le théâtre et la lecture aussi, je suis timide aussi, bien que moi, ça me rende plutôt méfiante que naïve). Je l’apprécie beaucoup.

    Marine est une sacrée hypocrite profiteuse et manipulatrice. Et, si d’habitude, j’aime les antagonistes autant que je les déteste, ce n’est pas le cas pour ce livre. Marine m’horripile. Ce qui ne l’empêche pas d’être bien décrite et très réaliste.

    Fanny, elle, je l’aime bien. Ce sera l’amie de Léna. Elle est souriante, simple, gentille et ne se laisse pas faire. Son caractère reflète bien l’atmosphère du roman. Mais elle n’est pas très creusée.

    Enfin, Vincent. Comme un ange gardien. Mignon, gentil, il aime lire comme Léna est doué au théâtre et ne parle pas trop. Le genre qui me plairait beaucoup. Mais il est encore moins creusé que Fanny.

    (Enfin, pour de la jeunesse, c’est quand même assez creusé dans le sens où ça ne manque pas.)

     

    Le style est léger, fluide, tranquille, simple. Du jeunesse quoi. Léna ne sera pas un personnage marquant dans la durer, mais on est très proche d’elle durant la lecture.

     

    Sur le livre, c’est mis à partir de 13 ans, mais je pense que l’on peut lire ce livre plus tôt à condition qu’une centaine de page ne fasse pas peur (raison pour laquelle j’ai mis 11 ans).

     

    Extrait : (choix : avant que Léna ne comprenne qui est Marine, quand nous, nous le comprenons.)

    « — Oh, je suis sûre que tu seras élue ! s’exclama Léna. Et puis, je t’aiderais, si tu veux.

    — Mais dis donc, c’est fou ce que t’es sympa, toi ! ricana Marine.

    « Et plutôt cruche », ajouta-t-elle en pensée.

    Après la visite, les deux filles s’installèrent sur un banc, dans le parc.

    — Maintenant, nous allons revenir sur le sujet primordial, les garçons ! déclara Marine, ce qui suffit à remettre Léna mal à l’aise.

    — Je te l’aie dis Marine, ce n’ai pas vraiment mon souci !

    — Mais c’est le mien ! »

     

    On adore : Le caractère de Fanny et de Vincent, la proximité avec Léna (tout en étant assez éloigné puisque l’on connaît aussi les pensée d’autres personnages), la simplicité.

    On regrette : Pas grand-chose, je crois.


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  • La complainte des landes perdues

    Cycle 1

    Jean Dufaux  (scénariste)

    Rosinski Grzegorz (dessinateur)

     

        

           

    Titre en VO : La complainte des landes perdues

    Année de la première publication (en France) : 1993 (tome 1 Sioban), 1994 (tome 2 Blackmore), 1996 (tome 3 Dame Gerfaut), 1998 (tome 4 Kyle of Klanach)

    Nombre de pages : entre 50 et 60 par tome

    Editeur : Dargaud

    Site de l’éditeur : http://www.dargaud.com/

    ISBN : 2-87129-071-7 (Sioban) 2-87129-078-4 (Blackmore) 2-87129-100-4 (dame Gerfaut) 2-87129-169-1 (Kyle of Klanach)

    Site de l’auteur : Non trouvé.

    Ma note : 6,5/10

    Publique conseillé : à partir de 15-16 ans

     

    Mon avis :

    Voilà une série de BD pas mal !

    Dans un univers moyenâgeux, des histoires de familles, d’héritage, de fils non reconnu, de fille trop jeune pour le trône,…

    Sioban est donc une princesse sans royaume, son père est mort en essayant de combattre pour récupérer un trône qui lui revient de droit mais que quelqu’un d’autre occupe.

    Si la base est simple et peu originale, les détailles sont plus complexe. Je ne vais pas vous les exposer, puisque je tiens à vous ménager des surprises quand même.

     

    Les personnages sont là pour l’histoire, ne sont pas très creusés au niveau caractère (ce sont des BD), mais leur histoire personnelle l’est, pour notre plus grand plaisir).

    Je ne prendrais pas la peine de trop en dire, puisque se serait en révélé beaucoup.

    Juste vous dire que les titres des quatre tomes correspondent à un personnage important du tome en question.

    Sioban pour le tome 1, la princesse sans royaume (elle sera le personnage principale de tout le cycle) jolie et à fort caractère.

    Blackmore (tome 2) est un antagoniste comme je les aime, retord, surprenant, avec des facettes cachées.

    Dame Garfaut (tome 3) est dans le genre de Blackmore. Retorse et cruelle.

    Kyle of Klanach (tome 4) n’est pas assez présent à mon goût, mais il est assez impulsif je pense.

    Sinon, comme personnage important, je ne peux pas passer à côté de Seamus, le mystérieux guerrier du pardon, un genre de sage.

     

    On joue sur les mythes et légendes, dans une atmosphère plutôt sombre et une ambiance moyenâgeuse, j’aime beaucoup.

    Les dessins sont simple et bien fait, avec des jeux d’ombres. Les couleurs de chaque personnage représentent bien le personnage en question.

     

     

    Extrait : (choix : trouvé sur le net)

    La complainte des landes perdues, cycle 1, Rosinski et Dufaux

     

     

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

    On adore : L’atmosphère, l’ambiance, la complexité des détails.

    On regrette : Je ne vois pas. J’ai dit quoi de négatif ?


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