• Toi contre moi

    Jenny Downham

     

     

     

     

    Titre en VO : you against me

    Année de la première publication (en France) : 2011

    Nombre de pages : 398

    Editeur : plon, collection jeunesse

    Site de l’éditeur : http://www.plon.fr/

    ISBN : 978-2-259-21457-5

    Site de l’auteur : non trouvé

    Ma note : 7,5/10

    Publique conseillé : à partir de 12 ans, je dirais. Fille comme garçon (oui, oui, même si c’est romance)

    Quatrième de couverture :

    Si quelqu’un fait du mal à ta sœur, ton boulot de grand frère, c’est de la venger, non ?

    Et si ton frère est accusé d’un crime terrible et qu’il dit qu’il est innocent, ton rôle de petite sœur, c’est de le défendre, non ?

    Lorsque la sœur de Mikey accuse un garçon de l’avoir agressée, tout son monde vole en éclat, il ne peut plus contenir sa colère.

    Lorsque le frère d’Ellie est désigné comme l’auteur de cette agression, à son tour elle perd pied.

    Et lorsque Mikey et Ellie se rencontrent, leurs deux mondes se heurtent de plein fouet.

    C’est une histoire de loyauté, de chois terribles, de vengeance, de vérité.

    C’est l’histoire d’une lutte entre deux familles ennemies.

    Et c’est aussi une histoire d’amour.

     

    Mon avis :

    Voilà un livre intéressant.

    Mikey et Ellie s’opposent, la sœur de l’un s’est fait agresser, le frère de la seconde clame son innocence, et eux se rencontrent. D’abord, le but est de profiter pour obtenir des infos pour leur sœur ou leur frère, en vue du procès. Puis cela dérive, doucement, mais sûrement, à leur insu d’abord, puis bien comme ils le veulent ensuite. D’un drame naît une belle histoire d’amour.

     

    Lui, il vient de la cité, il bosse pour ramener l’argent à la maison, il est l’homme de la maison, sa mère boit et il s’occupe de ces deux sœurs. C’est aussi le beau gosse, et il enchaîne les conquêtes.

    Avec son meilleur pote Jacko, ils font la paire et se taquinent souvent.

    Elle, issu d’un milieu aisé, elle est timide, un peu seule, ne connais rien aux garçons, et cette rencontre la fait se sentir étriqué chez elle.

    On s’identifie facilement aux personnages, aussi bien à l’un qu’à l’autre, malgré leurs différences.

     

    La romance, basée sur un drame, semble juste logique dés le début, tellement prévisible rien qu’au résumé et sans même ouvrir le livre, mais ça reste romantique dans le fond comme dans la forme. En même temps, depuis quand une romance permet le moindre suspens quant à l’issue ? Néanmoins, l’intérêt du livre, ce n’est pas tant ça que les réactions et les sentiments face au drame, et la recherche de la vérité. En effet, comment Mikey s’occupe de sa sœur, comment Ellie cherche ce qu’elle doit croire, comment évolue la confiance qu’elle a en son frère et surtout celle qu’elle a en elle-même, voilà déjà quelque chose de plus important.

     

    On regrette peut-être un petit épilogue pour savoir l’issue du procès ? Comment ça se passe pour la sœur de Mikey ? Comment ça se passe pour le frère d’Ellie ? Et dans sa famille ? Ça fait un peu inachevé, comme si on laissait les personnages livrés à eux même pour la suite, alors qu’un auteur se doit, selon moi, de les accompagner au bout du chemin avant de les laisser voler de leurs propres ailes. Mais en même temps, ce serait prendre un risque sur une fin plutôt pas mal.

     

    Le style est fluide, coule de source, et l’alternance des points de vus donne un certain rythme, mais qui reste léger et lent (ni trop, ni pas assez, juste comme il faut).

     

    Je trouve assez ironique le titre. C’est à la fois une proximité et un affrontement. Ça résume très bien le livre en lui-même.

     

    Extrait : (choix : quand je l’ai lu, j’ai su que je mettrai celui la. D’office)

    « Ils ne parlaient pas. Il lui était impossible de parler tant qu’elle avait son genou contre le sien. Il avait besoin de toute sa concentration pour se retenir de se pencher vers elle et de l’embrasser. Est-ce qu’elle s’en doutait ? Est-ce qu’elle savait que le seul fait que sa jambe effleure celle de Mikey faisait fourmiller tout son corps ? »

     

    On adore : La base, la question de la confiance en soit et en les autres.

    On regrette : Peut-être un peu la prévisibilité et un épilogue ?

     


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  • Le journal d’Anne Frank

     

     

     

    Titre en VO : Het Auchterhuis

    Année de la première publication (en France) : 1950

    Nombre de pages : 358 (avec préface et post face, qui sont important à lire aussi et donne beaucoup de précision sur le livre et son édition)

    Editeur : le livre de poche

    Site de l’éditeur : http://www.livredepoche.com/

    ISBN : 978-2-253-17736-4

    Site de l’auteur : Aucun

    Ma note : Je n’en mettrai pas.

    Publique conseillé : Je pense que cela dépend de l’édition, certaine ont des passages que d’autres n’ont pas. Pour celle que j’ai moi, je dirais 13 ans.

    Quatrième de couverture :

    « Je vais pouvoir, j’espère, te confier toutes sortes de choses, comme je n’ai encore pu le faire à personne, et j’espère que tu me seras d’un grand soutient. »

    En 1942, la jeune Anne Frank a 13 ans. Elle vit heureuse à Amsterdam avec sa sœur Margot et ses parents, malgré la guerre. En juillet, ils s’installent à « l’Annexe » de l’immeuble 263, Prinsenchracht. En 1944, ils sont arrêtés sur dénonciation. Anne est déportée a Auschwitz, puis à Bergen-Belsen, où elle meurt du typhus au début 1945, peu après sqa sœur. Son journal, qu’elle a tenu du 12 juin 1942 au 1 août 1944, est un des témoignages les plus bouleversants qui nous soient parvenus sur la vie quotidienne sous le joug nazi. Depuis près de soixante dis ans, la voix de cette jeune fille pleine d’espoir hante des millions de lecteurs dans le monde entier.

     

    Mon avis :

    Qui n’a jamais entendu parler de ce livre symbolique ? Qui ne sait pas qui est Anne Frank ?

    Anne Frank est un symbole, et son journal, touchant, est spontané, parfois même impulsif, mais surtout très vrai.

    Sous le joug nazi, sa famille et elle-même entre dans la clandestinité, accompagné de la famille Van Dann et de monsieur Dussel, et aussi de leur protecteur, qui les cachent, les nourrissent, les protègent. Son journal, c’est leur quotidien, c’est leur vie.

    Anne, avec son regard perçant, sa lucidité, sa psychologie, parvient à comprendre ces gens qui l’entourent, et à nous les montrer très clairement. Elle est aussi très lucide sur elle-même, ce qui est surprenant à son âge.

    Son journal, c’est aussi son évolution, à elle qui grandie, qui passe de l’enfance à l’adolescence. Sa spontanéité reste toute enfantine tout du long, mais ses réflexions évoluent grandement. Et l’enfermement dans l’annexe l’ouvre au monde et aux questions de la vie.

     

    Ce journal, c’est le tracé d’une jeune fille en même temps que celui d’une clandestine et d’une juive sous le joug nazi. C’est qui en fait ce témoignage symbolique et si touchant. C’est « les deux Anne » qui se rencontrent ici.

     

    Ce livre, qui n’est au départ que le journal d’une jeune fille, Anne commence à le réécrire deux mois et demi avant son arrestation, quand elle entend à la radio que les témoignages ordinaires seront précieux après à la guerre. Elle ne finira malheureusement jamais, et quand il est libéré du camp d’Auschwitz par l’armée rouge, son père fait un mixe de la version originale et de la nouvelle pour le faire publier.

    Ce livre est aussi la réalisation du rêve d’Anne Frank, « devenir un jour journaliste, et plus tard écrivain célèbre ».

     

    Je ne me permettrai pas de mettre de note à ce livre, pour ses conditions d’écriture, je pense que vous comprendrez. D’ailleurs, je ne mettrai pas non plus de On adore/on regrette. Je peux juste ajouté que ce livre, j’ai pris mon temps pour le lire, plus que je ne l’avait prévu, qu’il fait parti de ceux que l’on mâche et digère entièrement. (Voir les citations ici pour la référence http://oceanlivresque.eklablog.fr/citations-et-autres-petites-phrases-a96459037)

     

    Extrait : (choix : juste une phrase prise au hasard, parce que je n’arrivais pas à choisir)

    « La radio anglaise parle d'asphyxie par le gaz. Je suis complètement bouleversée. »

     

     


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  • La couleur des sentiments

    Kathryn Stockett

     

     

     

     

    Titre en VO : The help

    Année de la première publication (en France) : 2010 

    Nombre de pages : 526

    Editeur : Jacqueline Chambon

    Site de l’éditeur : http://www.jacquelinechambon.fr/Editions_Jacqueline_Chambon/Accueil.html 

    ISBN : 978-2-7427-9291-7

    Site de l’auteur : http://kathrynstockett.com/ 

    Ma note : 6/10

    Publique conseillé : Euh…, excellente question. Les gros lecteurs. Et patient, aussi. Fille comme garçon. Pas d’âge, si ce n’est celui de ne pas se décourager par la taille du livre.

     

    Quatrième de couverture :

    Chez les Blancs de Jackson, Mississippi, ce sont les Noires qui font le ménage, la cuisine, et qui s’occupent des enfants. On est en 1962, les lois raciales font autorité. En quarante ans de service, Aibileen a appris à tenir sa langue. L’insolente Minny, sa meilleure amie, vient tout juste de se faire renvoyer. Si les choses s’enveniment, elle devra chercher du travail dans une autre ville. Peut-être même s’exiler dans un autre Etat, comme Constantine, qu’on n’a plus revue ici depuis que, pour des raisons inavouables, les Phelan l’ont congédiée.

    Mais Skeeter, la fille des Phelan, n’est pas comme les autres. De retour à Jackson au terme de ses études, elle s’acharne à découvrir pourquoi Constantine, qui l’a élevée avec amour pendant vingt-deux ans, est partie sans même lui laisser un mot.

    Une jeune bourgeoise blanche et deux bonnes noires. Personne ne croirait à leur amitié ; moins encore la toléreraient. Pourtant, poussées par une sourde envie de changer les choses, malgré la peur, elles vont unir leurs destins, et en grand secret écrire une histoire bouleversante.

    Mon avis :

    C’est un livre que l’on m’a beaucoup vanté. Je m’attendais vraiment à un truc génial. Et j’aie été déçu. Du coup, je dirais qu’il était juste potable, à peine bien. Après, peut-être que si on m’en avait moins chanté les louanges, je l’aurais peut-être mieux aimé, sinon apprécié, mais c’est comme ça. Aussi, si je suis dure, il faut tout de même tenir compte de ce détail.

     

    C’est l’histoire de trois femmes.

    Eugenia Phelan, alias Skeeter. Une blanche qui rêve d’écrire, avec ses principes et ses idéaux défiants son monde.

    Aibileen, une bonne noire. Sage et aguerri par les ans à sa vie et à la société dans laquelle elle vit.

    Minny, une bonne plus jeune, noire aussi. Avec un fichu caractère, une grande gueule, et un don pour la cuisine qui la sauve.

    Mais c’est aussi et surtout l’histoire d’un livre. Un livre qui raconte les bonnes, leur quotidien et leur relation avec leur employeuse. Un livre contre le racisme, un livre pour changer les choses.

     

    Ce livre est basé dans un contexte historique précis. 1962, le racisme, Rosa Park et Martin Lutter King. Il est bien utilisé.

     

    Skeeter, au début, c’est une obstinée que ne sait pas ce qu’elle veut et une gosse naïve. Ça devient un écrivain obstiné un peu plus prudent et avec un but. Elle est très bien. Mais j’ai eu du mal à m’identifier dans ce personnage. (Pourtant, c’est loin de me poser problème d’habitude, je m’identifie à n’importe quel perso, même si s’oppose totalement à moi ou si c’est une ordure.)

    Aibileen, c’est la douceur incarnée. Elle, je l’aime beaucoup, j’ai de la sympathie pour elle. Elle aime beaucoup l’enfant dont elle s’occupe, Mae Mobley. Mesurée, douce, calme, réfléchie. Et, très important,  elle aime écrire.

    Sa patronne, Miss Leefolt, est un peu, je ne dirais pas bête, mais à côté de la plaque, parfois. J’ai l’impression qu’elle loupe ce qui est sous ses yeux. Et elle ne sait pas aimer sa fille.

    Minny, c’est un sale caractère et une grande gueule ouverte beaucoup trop souvent pour une noire. Plus têtue qu’une mule, qui ne cache pas ses idéaux. Ce livre, c’est une façon de s’exprimer pour elle. De dire haut et fort ce qui ne va pas.

    Sa patronne à elle (enfin, pas celle du début, mais la plus importante pour le livre), Miss Celia, est excentrique et un peu bizarre. Je ne savais pas du tout quoi en penser au début.

    Il y a aussi Miss Hilly qui est très importante. Obstinée, hautaine, manipulatrice, égoïste, et j’en passe. Mais surtout, elle est ancrée dans sa société et raciste comme elle. Elle, est vraiment bien représentée.

    Dans l’ensemble, les personnages sont pas mal.

     

    Ce livre alterne les points de vue des trois personnages principaux. En temps, normal, ça accélère, ça donne un plus. Là, ça ne modifie en rien le rythme, trop lent.

     

    Le début est très (trop) long. On pose les bases, c’est normal, mais il y a des limites. Ça n’avance pas bien vite pendant la première moitié voir les deux tiers du livre.

    La quatrième de couv’ en promet trop. L’histoire ne correspond pas. Elle promet du suspens et la recherche de Constantine. Celle-ci est juste évoquée, et si elle est une des causes de l’aventure, elle n’est pas vraiment importante, et il n’y a aucune réelle recherche.

    Il n’y a pas vraiment de suspens, à aucun moment.

    Par contre, sur la fin, ça s’accélère, et les sentiments, comme la peur, l’attente, l’impatience, le doute,… sont très biens mis en place. On peut dire que ça relève le niveau. (Encore heureux, sinon, je crois que la note de quatre aurait bien mieux convenue à ce livre.)

     

    Ça reste tout de même une bonne dénonciation du racisme et de cette époque, qui est quand même bien proche de nous (tout juste 50 ans).

     

    Je sais qu’il existe un film, et on me l’a aussi vanté. J’espère qu’il ne me décevra pas autant que le livre.

     

    Extrait : (choix : J’ai eu mal pour la gosse.)

    « Je dis doucement « Ça va maintenant, Baby Girl ? » J’ai l’oreille chade à cause du coup qu’elle m’a donné avec son petit poing. Je suis content qu’elle m’ait frappé plutôt que sa maman, je sais pas ce que cette femme lui aurait fait. Je baisse les yeux et je vois les marques de doigts rouges sur ses mollets.

    « Je suis là, mon bébé, elle est là, Aibileen ! » Je la berce et la console, la berce et la console.

    Mais Baby Girl pleure, et pleure, et pleure, et pleure. »

     

    On adore : Le thème et le contexte. Et un peu les personnages et le but du livre (le livre qui y est écrit).

    On regrette : La lenteur, la trop grande promesse du résumé, la lenteur, le manque de suspens, la lenteur, Skeeter, la lenteur,… ah, oui, et j’allais oublier, la lenteur.

     


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  • Chroniques Lunaires

    Tome 2 : Scarlet

    De Marissa Meyer

     

    Chroniques Lunaires, tome 2 : Scarlet de Marissa Meyer

     

      

    Titre en VO : Scarlet

    Année de la première publication (France) : 2013

    Nombre de pages : 476

    Editeur : Pocket jeunesse

    Site de l’éditeur : http://www.pocketjeunesse.fr/livres-jeunesse/ 

    ISBN : il n’y en a pas sur les formats pour liseuse électronique. J’ai lu le livre sur ma Kindle.

    Site de l’auteur : http://www.marissameyer.com/

    Ma note : 10/10

    Publique conseillé : Filles à partir de 14 ans

    Quatrième de couverture : 

    Bien loin de l'asie et du royaume du Prince Kai, la grand-mère de Scarlet Benoit est portée disparue. Scarlet réalise alors qu’elle n’a jamais su qui était vraiment son aînée et quels dangers pouvaient bien la menacer. Quand elle rencontre Wolf, un mystérieux street-fighter qui semble savoir où est sa grand-mère, elle n’a d’autre choix que de lui faire confiance. C’est en menant leur enquête que Scarlet et Wolf croisent la route de Cinder. Ensemble ils se ligueront contre Levana, la vicieuse Reine lunaire prête à tout pour asservir les Terriens et épouser le Prince Kai.

    Mon avis :

    J’ai adoré cette suite. Marissa Meyer se frotte à la réécriture du Petit Chaperon Rouge à la manière science-fiction.

    ATTENTION ! Risques de spolier sur le tome 1 

    Nous suivons Scarlet Benoît qui habite à Toulouse dans le sud de la France. Elle vit avec sa grand-mère qui s’est reconvertie dans l’agriculture. Un jour, la vielle dame disparait mystérieusement. Sa petite fille la recherche et tombe sur un jeune homme assez étrange qui prétend s’appeler Loup (c’est son nom dans la version française). Qui est-il ? A-t-il un lien avec la grand-mère de Scarlet ?

    Scarlet est une jeune fille de 18 ans au caractère bien affirmé. Elle est très attaché à sa grand-mère et fera tout pour la retrouver. Son habit fétiche est un sweet-shirt rouge avec une capuche, elle le porte tout le temps.

    Loup, est un garçon qui fait des combats de rue. Il porte un tatouage assez étrange sur l’avant-bras. On peut le penser grincheux et dur mais il a aussi un très grand cœur.

    Emilie, la serveuse du restaurant dans lequel Scarlet livre les produits de sa ferme est fleur bleue et aime les beaux garçons. C’est une amie de la jeune fille. 

    Carswell Thorne  un prisonnier, ancien soldat de l’armée américaine et voisin de cellule de Cinder.  Il ne comprend pas grand-chose et veut tout le temps être appelé « capitaine ».

    Cinder et Kai, les personnages principaux du tome 1, n’ont pas changés.

    Les chapitres alternent avec Scarlet et Loup, Cinder et Thorne puis Kai ce qui donne une dynamique à l’histoire. Dans le livre, il y a trois mini-intrigues qui se rejoignent les unes les autres.

    L’écriture de l’auteur est toujours aussi fluide et agréable.

    En résumé, une très bonne lecture et hâte de me plonger dans le troisième !

     

    Extrait : (choix : J’aime bien ce passage)

    « - On devrait l'emmener avec nous.
    Cinder le fusilla du regard. 
    - Tu es fou ou quoi ? 
    - Fou amoureux. Elle est superbe.
    - Imbécile. Aide-moi plutôt à la porter dans le salon. »

    On adore : Les personnages, l’univers.

    On regrette : Rien !

    Chronique du tome 1 : http://oceanlivresque.eklablog.fr/chroniques-lunaires-tome-1-cinder-de-marissa-meyer-a105610696#


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  • Divergente

    Adaptation du livre : Divergent, tome 1

    De Veronica Roth

     

    affiche du film

     

     

    Réalisateur : Neil Burger

    Acteurs :

    -         Shailene Woodley, dans le rôle de Béatrice Prior (qui deviendra plus tard Tris)

    -         Theo James, dans le rôle de Quatre.

    -         Kate Winslet, dans le rôle de Jeanine Matthews.

    -         Zoë Kravitz , dans le rôle de Christina (une amie de Tris).

    -         Ansel Elgort, dans le rôle de Caleb Prior.

    -         Ashley Judd, dans le rôle de Nathalie Prior.

    -         Tony Goldwyn, dans le rôle d’Andrew Prior.

    -         Ray Stevenson, dans le rôle de Marcus Eaton (le père de Quatre).

    Bande annonce : https://www.youtube.com/watch?v=gxbwcBlj_dM 

    Durée : 2h19

     

    Film :

    Ma note : 10/10

    Mon avis :

    J’ai tout simplement adoré ! Les personnages sont excellents.

    Pour raconter un peu l’histoire, on suit Béatrice Prior, une jeune fille de 16 ans qui vit avec ses parents et son frère, Caleb, dans la faction des Altruistes. La société est divisée en 5 factions (castes) où sont regroupés les gens en fonction de leur personnalité. Les altruistes sont dévoués aux autres. A l’âge de leurs 16 ans les adolescents doivent choisir leur faction « définitive » ; soit rester avec leur famille soit partir. Pour cela, il passe un test mais celui de Béatrice n’est pas concluant. Que va-il lui arriver ?

    J’ai beaucoup aimé les personnages notamment Béatrice et Quatre, un jeune homme que la jeune fille apprendra à apprécier au fil de l’histoire. Le jeu des acteurs est pas mal et les scènes d’action sont géniales ! L’ambiance est assez sombre mais comme on peut s’y attendre dans ce genre de film. La fin, est comme je l’imaginais. J’attends la sortie du dvd avec impatience (même si se ne sera pas pour tout de suite) et j’espère que les studios adapteront le tome 2.

    On adore : Tout sans exception !

    On regrette : Je cherche encore…

     

    Adaptation :

    Ma note : 10/10

    Mon avis :

    L’adaptation suit l’enchaînement du livre et n’oublie aucun détail.  Certains personnages du livre n’apparaissent pas mais cela ne change pas l’histoire, au contraire cela évite qu’il soit trop long. Tris, qui semble châtain sur les photos alors qu’elle est blonde dans le livre mais est finalement comme dans celui-ci. La fin est très fidèle au livre, ce qui m’a beaucoup plu. En résumé, un très bon film et une très bonne adaptation.

    On adore : Tout

    On regrette : On cherche…

    Chronique du livre : http://oceanlivresque.eklablog.fr/divergent-tome-1-de-veronica-roth-a84535398


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